Roman

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    Présentation de l'éditeur :
    Après maints affrontements contre les Dégénérés, nous pénétrions dans la cité d’Orakthias, à l’extrême nord de Sylvainth. Je me heurtais en permanence à l’officier aux prises avec une singulière altération qu’il s’évertuait à me dissimuler. En lutte contre ce dernier, l’amazone que j’incarnais s’attribuait pour mission de découvrir le Berceau des Origines. C’est là qu’étaient détenues les femmes dont se servaient les Maîtres Draegs pour se reproduire, et je n’avais de cesse de libérer ces captives cloîtrées au sein de leur gynécée. Lorsque le Dragaãnh disparaît mystérieusement, en proie à ses démons, je n’avais plus d’autre choix que de défier le Haut-Divin et sa caste de prêtres qui voyaient en moi une ennemie qu’il leur fallait neutraliser. Je devais pénétrer dans ce harem, en extirper ces femmes, nous évader de la cité escortée des fidèles guerriers du Dragaãnh, et partir à la recherche de celui-ci. Cependant, aurais-je suffisamment de certitudes et de détermination en moi ? Une alternative me murmurait que je pourrais tout aussi bien sombrer dans le piège sordide que s’efforçaient de me tendre le Haut-Divin et ses sbires ? Après la trilogie de La Passion de l’Arachnee, Les Déviants Sacrés développent l’univers de cette saga des Mondes Mutants chère à l’auteure.

    Christine Barsi :
    L’auteure est une scientifique qui puise son inspiration dans ses études en biologie et science de la nature et de la vie, ainsi que dans son métier dans les ressources humaines et l’ingénierie. L’auteure écrit en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif plusieurs romans publiés à compte d’éditeur. Elle est membre du Conseil d’administration de sa ville, afin de promouvoir la littérature.

    Titre : Les déviants sacrés tome 2 - La Quête du Dragaãnh
    Autrice : Christine Barsi
    Site de l'autrice : christinebarsi.com
    Page Facebook de l'autrice : facebook.com/ChristineBarsi.romanciere/
    Éditeur : 5 Sens Editions
    Nombre de pages : 362

    Prix du livre papier : 20 € : catalogue.5senseditions.ch/fr/science-fictionfantasy/474-les-deviants-sacres-tome-2.html

     

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    Le concept : un magazine dédié exclusivement à la création d’univers de fiction.

    Thèmes : du jeu vidéo au jeu de rôle, en passant par le jeu de société, la bande dessinée, le roman, les nouvelles, le théâtre, les illustrations et autres arts numériques, les films, les effets spéciaux et la musique.

    Bi-mensuel : 24 numéros par an, achat au numéro ou via un abonnement. Numérique exclusivement (Acrobat PDF).

    Dans chaque numéro : un Dossier complet, un Projet pratique, ainsi que des articles de making of, d’analyse, des interviews, etc.

    Premier numéro disponible gratuitement sur le site web : createursdemondes.fr

    Pour s'abonner : createursdemondes.fr/abonnez-vous/

     

     

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    Présentation de l'éditeur :
    Sylvainth regorgeait de paysages stupéfiants. Ces roches instables, ces forêts d’une humanité dérangeante… et ce désert… Il n’était pas de jour, où je ne m’enthousiasmais pas pour l’un de ces mystères. Le Grand Dessein auquel j’étais assujettie m’amenait à partager l’existence des hommes-guerriers et à les aider à traquer des Aliens sur notre monde depuis trois cents années. Nous, les amazones, n’avions-nous fait qu’entériner les volontés croisées de nos communautés ? Je pensais, que ce à quoi j’aspirais s’avérait plus complexe que mes idéaux à court terme et que ces aptitudes qui émergeaient chez moi m’affolaient plus qu’elles ne me rassuraient. Condamnée à ce rôle de femme-appât sous la coupe du Dragaãnh, cet être énigmatique et solitaire sur lequel couraient maintes rumeurs, j’étais contrainte à l’obéissance, et je n’étais pas prête à m’affranchir de cet officier et de ses vétérans ; mais cette soumission qu’ils escomptaient ne ferait pas long feu. J’allais jouer avec eux, et à la toute fin je leur échapperais… si tant est que cet officier ténébreux me le permette. Il me fallait découvrir ce qu’il incarnait ; mais ensuite, aurais-je encore le choix de ma destinée ? Et qu’étais-je, moi-même, pour qu’il me hante à ce point, et qu’il ne parvienne pas à se détacher de moi ?

    Christine Barsi :
    L’auteure est une scientifique qui puise son inspiration dans ses études en biologie et science de la nature et de la vie, ainsi que dans son métier dans les ressources humaines et l’ingénierie. L’auteure écrit en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif plusieurs romans publiés. Elle est membre du Conseil d’administration de sa ville, afin de promouvoir la littérature.


    Titre : Les déviants sacrés tome 1 - Le Grand Dessein
    Autrice : Christine Barsi
    Site de l'autrice : https://christinebarsi.com
    Page Facebook de l'autrice : https://www.facebook.com/ChristineBarsi.romanciere/
    Éditeur : 5 Sens Editions
    Nombre de pages : 362

    Prix du livre papier : 20,40 € € : https://catalogue.5senseditions.ch/fr/science-fictionfantasy/458-les-deviants-sacres-tome-1.html

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    La version papier du roman Une nephilim en exil est disponible à 20 euros sur notre boutique en ligne ou sur Amazon

    La version numérique est disponible à 5,99 euros chez votre libraire numérique préféré, notamment 7Switch.

     

    L'illustration de couverture a été réalisée par Rumyana Zarkova.

     

    Résumé :

    Le cœur brisé, Thane s’est réfugié dans les Marches d’Inferi.

    De son côté, à Thémiscyre, Sophia tente tant bien que mal de se faire passer pour une aspirante amazone jusqu’au jour où la visite d’un certain elfe la projette à nouveau entre les mondes.

    Sur Terre, la paix se fendille sous les coups de mystérieux ennemis et l’archange Raphaëlle, responsable de l’ensemble des émissaires aux États-Unis, a bien du mal à savoir d’où viendra la prochaine attaque.

    Alors que les mondes retiennent leur souffle, certains devront tout donner pour empêcher la Trêve de voler en éclats...

     

     

  • Présentation de l'éditeur :
    « Elle est enfin là ! » pense avec une satisfaction morbide le monstre arachnee qui guette dans la nuit, au sein de la jungle obscure et bruyante. « Là et à ma merci. Elle est enfin venue, et le miracle auquel je ne croyais pas s’est accompli. »

    Ainsi, pense Aydaãnh, sous sa forme mutante, à scruter d’un air mauvais les misérables chalets de bois qui enclosent les Humains dans la fausse sécurité de leur campement provisoire.

    Il les observe, elle et ses comparses, mais n’interviendra pas. Pas encore.

    C'est là-bas, au cœur de l’enfer végétal de Thanäos, alors que l’éthologue étudie le peuple des Hommes-Arachnees et leur potentiel d’humanité, que le destin de celle-ci se décidera et qu'elle deviendra, entre les pattes du plus grand d’entre eux, le jouet involontaire de sa passion exclusive.

    Christine Barsi :
    L’auteure est une scientifique qui puise son inspiration dans ses études en biologie et science de la nature et de la vie, ainsi que dans son métier dans les ressources humaines et l’ingénierie. L’auteure écrit en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif neuf romans publiés à compte d’éditeur. Elle est membre du Conseil d'administration de sa ville afin de promouvoir la littérature.


    Titre : La Passion de l'Arachnee Tome 2
    Autrice : Christine Barsi
    Site de l'autrice : http://christinebarsi.com
    Page Facebook de l'autrice : https://www.facebook.com/ChristineBarsi.romanciere
    Présentation YouTube de l'autrice : https://youtu.be/A-u5P6w6z-U
    Éditeur : 5 Sens Editions

    Prix du livre papier : 23,82 € : https://catalogue.5senseditions.ch/fr/science-fictionfantasy/380-la-passion-de-l-arachnee-tome-2.html 


    Interview de Christine Barsi

     

    Présentez-nous votre ouvrage...
    La Passion de l’Arachnee est une trilogie de science-fiction passionnelle faisant partie de ma saga des Mondes unifiés. Une déclinaison de la Belle et la Bête sur le registre de la science-fiction et des mutations.

    Voici le pitch du tome 2 :
    « Au cœur de l’enfer végétal de Thanäos, accompagnée d’une équipe composée de Terriens et de Colons, et s’interrogeant sur les objectifs qu’on leur a attribués, une éthologue étudie le peuple des Hommes-Arachnees et leur potentiel d’humanité. Piégée par ses propres rêves d’une existence divergente et d’une reconnaissance des races mutantes au sein de la colonie terrienne, en lutte contre l’hégémonie des gouvernements du Berceau, elle deviendra, entre les pattes du plus grand des Arachnees, le jouet involontaire de sa passion exclusive. »

    Le tome 2 s’intitule : Thanäos
    « Elle est enfin là ! » pense avec une satisfaction morbide le monstre arachnee qui guette dans la nuit, au sein de la jungle obscure et bruyante. « Là et à ma merci. Elle est enfin venue, et le miracle auquel je ne croyais pas s’est accompli. »
    Ainsi, pense Aydaãnh, sous sa forme mutante, à scruter d’un air mauvais les misérables chalets de bois qui enclosent les Humains dans la fausse sécurité de leur campement.
    Il les observe, elle et ses comparses, mais n’interviendra pas. Pas encore.

     

    Quels sont les thèmes abordés dans ce roman ?
    Thanäos est la suite directe de L’Odyssée. Vous y trouverez donc un univers de science-fiction traitant de déviances, de mutations et de la folie des Terriens dans la recherche de leur Graal, le génome parfait selon leur regard dévoyé. Mais au-delà, c’est une magnifique histoire d’amour entre deux êtres que tout sépare, leurs races comme leurs idéaux. Sauront-ils dépasser leurs divergences ? Certaines scènes sont très belles, très esthétiques, d’autres douloureuses et difficiles à affronter. Entre romantisme et conflits, ainsi en va cette odyssée dans l’univers bouleversant de Thanäos.
    La trilogie s’achèvera avec le troisième tome en phase de réécriture actuellement. Mais La Passion de l’Arachnee ne fait qu’amorcer un univers beaucoup plus vaste, celui des mondes unifiés, celui des mondes déviants qui intègrent un certain nombre de livres en devenir. Préparez-vous !

     

    Pourquoi cette illustration de couverture ?
    Je suis tombée sous le charme de ce visage féminin qui symbolise à mon regard, la pureté de l’héroïne. Ses yeux fermés révèlent son aptitude à la télépathie, à la communication avec les êtres quel que soit leur degré d’humanité. Son front ceint de fleurs évoque les fleurs sauvages de Thanäos. Le fait que ce visage soit encadré des deux crânes figure la dangerosité de la jungle de Thanäos au sein de laquelle la mission de l’héroïne l’entraîne à côtoyer des peuples déviants et mutants parmi les plus redoutables. La béance des orbites du crâne suggère, quant à elle, la caverne dans laquelle le Démiurge arachnee emportera la scientifique dans le cadre d’une scène que vous découvrirez en lisant le livre. Enfin, la forêt en arrière-plan rappelle l’immanence de cette jungle mystique.

     

    Pourriez-vous nous citer quelques passages du tome 2 dela Passion de l’Arachnee ?
    1er extrait - Prologue :
    Tout n’est qu’apparence, tandis que dans le cœur des hommes se terrent quelques-unes des roueries les plus maléfiques et les plus malsaines. Comment identifier l’ami qui ne vous trahira pas ni ne trahira tout ce en quoi vous croyez jusque-là ?
    « La jungle omniprésente et sa faune déviante, vibrante de cette énergie animale que ne maîtrisait aucun des grands décisionnaires de Terra et de ses succursales.
    C’est dans cet enfer qu’ils s’étaient embarqués en dépit des dangers, en dépit des avertissements multiples, poussés de l’avant par cette mission furtive autant que suicidaire dont ils ne comprenaient que ce que l’on avait bien voulu leur en révéler.
    Ils avaient enregistré des pertes dans leur équipe, récemment, et le camp qu’ils venaient d’investir, heureux d’avoir désormais un toit au-dessus de leurs têtes, n’était pas ce qu’il y avait de plus sécuritaire ni de plus rassurant ; mais c’était ce qu’ils avaient connu de mieux, depuis leur départ de Ranat la ville-garnison aux portes de Thanäos. »

    2d extrait - La Fhyenetëan, Wokuntz :
    Aimer un Déviant qui ne vous considère que comme un être dégradé apporte son lot de souffrances inéluctables, et vous pousse à vous considérer comme dépravée alors même que vous ne ressentez que cet invariable sentiment d’amour à son encontre. Comment sortir de l’impasse ?
    « En cette fin de matinée, Wanisha frottait des pagnes de tissus au lavoir près de la hutte qu’elle partageait avec Tôenino, dans la partie sud du camp des femmes. Ce dernier était parti aider les hommes aux champs. Il faisait beau ; aujourd’hui, la brume n’avait stagné qu’un bref laps de temps avant de se désagréger progressivement. L’esclave prisait les paysages qui se déployaient, alors, dans leur simplicité sans artifice. Depuis l’aube, elle travaillait à la tâche ingrate de nettoyer les pagnes des guerriers arachnees. Tâche qu’elle partageait avec les Humaines et les Humanoïdes, esclaves tout comme elle. »

    3e extrait - Remise en état du gîte : 
    Me perdre dans la jungle était ma façon de me désassocier du genre humain, de remonter à mon enfance et de m’y réancrer à l’instar d’une gamine insouciante qui ne rêvait que de gentils monstres.
    « L’aube naissante jetait sur les Hauts-Plateaux d’extraordinaires lueurs incandescentes qui inondaient la mansarde d’une lumière mouvante ; les ombres incertaines se densifiaient par endroits, s’amenuisaient à d’autres en créant une danse photophorique fascinante. Baignée dans cette atmosphère chargée de mystère, depuis son nid douillet, Isys fixait la clarté au-dehors par la lucarne étroite. Un merveilleux sentiment de bien-être l’emplissait tout entière. Elle aurait aimé garder la tiédeur de son lit tant elle s’y trouvait bien, mais un décichrone1 plus tard elle descendait de son coin paisible pour s’affairer dans le chalet.
    Le battant de la porte d’entrée frappait contre le mur extérieur. Attirée par les heurts agressifs, Isys sortit au-dehors. La brume noyait le paysage d’un halo cotonneux, le recouvrait d’un manteau bleuté opalescent, mais ne dépassait pas plus d’un mètre quarante au-dessus du sol ; sous les yeux de l’éthologue se révélait un monde enchanteur et champêtre. On se serait cru dans un tout autre lieu où la paix aurait régné sans équivoque et sans aucune trace du mal qui rongeait Xaltaïr et l’ancienne Terre. »

     

    Comment se déroule pour vous cette fin d’année 2020, alors que l’épidémie de grippe a entraîné un confinement et un contexte extrêmement difficile au niveau planétaire ?
    Tout d’abord, je ne pensais pas avoir le temps nécessaire à la parution du second opus de cette trilogie ni même du précédent d’ailleurs. Le miracle est survenu, puisque les deux premiers tomes de la Passion de l’Arachnee seront sortis au cours de cette année 2020.
    En ce moment même, je travaille le tome 3 et j’ai bon espoir de le soumettre à mon éditeur, suffisamment tôt pour qu’il ait une chance d’être publié d’ici à l’été 2021. La situation bien que déroutante n’aura pas eu d’impact négatif dans ma production littéraire, dans la mesure où j’ai dû trouver des solutions qui me permettent de progresser envers et contre tout dans mes objectifs et de nourrir toujours plus avant cette passion pour l’écriture.
    En effet, les salons et diverses manifestations ne s’étant pas tenus dans le contexte de confinement, j’ai programmé dès que cela a été possible des séances de dédicaces dans mon jardin de Bellême dans le Parc Régional du Perche en prenant bien entendu en compte les éléments protecteurs de la distanciation. La planification de ces moments privilégiés m’a ainsi permis de me créer des contacts dans le milieu littéraire et de rencontrer des journalistes. Ceux-là sont venus nous interviewer, mes lecteurs et moi, dans le cadre de ces événements. Je me suis également rapprochée de ma mairie de Nogent-sur-Marne très volontaire pour développer les actions culturelles pour ses artistes et ses Nogentais. Nous allons organiser, de concert, une soirée Dédicace en même temps qu’un spectacle sur la Cyberculture. Lors de cette soirée de début novembre, l’artiste Yann Minh m’accompagnera en tant que conteur du cyberespace. Je suis très heureuse de cette opportunité.
    Dans les autres événements prévus pour cette fin d’année, si le contexte s’y prête, je serais présente à des séances de dédicaces lors du Salon des Éditeurs Indépendants promu par L’Autre Livre qui doit se tenir mi-novembre.
    En novembre, j’aurais également une réponse concernant ma participation à l’appel à texte du Prix Mille Saisons 2022. Leur toute dernière anthologie du merveilleux et de la SF sur le thème : « Des Astres humains » devrait paraître en 2021 pour le Salon du Livre de Paris. La nouvelle que je leur ai proposée, L’Éveil Quantique, y sera-t-elle ? Une affaire à suivre…
    Enfin pour clore le chapitre de l’année 2020, j’ai été invitée cet été à intégrer le Conseil d’administration de la Mairie de Nogent-sur-Marne afin d’y développer l’univers du Livre de notre ville. J’apprécie énormément cette opportunité que le Maire et la Direction de la Culture à Nogent m’ont offerte tout dernièrement.
    Dans le cadre de l’année 2021 sont d’ores et déjà au programme le Salon du Livre et de la BD d’IDF sur Mennecy courant février, le Salon International du Livre et du Film de Saint-Malo en mai ainsi que le Salon Fantastique du Parc floral de Vincennes qui s’organise pour la fin aout, en espérant que ces diverses actions puissent se tenir.

     

    Un dernier mot pour les lecteurs ?
    Je l’ai déjà exprimé dans les précédents interviews, mais je le réaffirme ici : la persévérance est le maître mot de l’existence dans la poursuite de ses rêves de quelque ordre qu’il soit. Soyez fidèle à ces rêves qui vous emporteront bien plus loin que ce que vous l’escomptiez à l’origine.
    Et pour finir, je répèterais encore et encore, la phrase que j’ai découverte il y a quelque temps, celle de George Bernard Shaw qui disait : « Vous voyez des choses et vous dites : « pourquoi ? » Mais moi je rêve de choses qui n’ont jamais existé, et je dis : « pourquoi pas ? » 

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    Un démon vagabond, le premier tome des Chroniques de la Trêve, est disponible pour 16 euros sur notre boutique en ligne !

    Si vous préférez les ebooks, vous pouvez également retrouver la prévente numérique pour 3,99 € chez votre libraire numérique préféré !

    L'illustration de couverture a été réalisée par Rumyana Zarkova.

    Résumé :
    Sous la pression des mondes d’Éther et de Faërie, les anges et les démons ont été contraints de déclarer la Trêve et d'envoyer sur Terre des émissaires pour instaurer une paix durable.

    Dans ce contexte tendu, Thane, un démon excentrique et aux relations amoureuses compliquées, exerce son rôle d'émissaire dans le Sud-Ouest de la France.

    Ses investigations surnaturelles le dirigent sur la trace d'un gang de diablotins, puis d'un mystérieux culte qui veut sacrifier une étudiante en histoire.

    Sans le savoir, en rencontrant Sophia, Thane vient de mettre le nez et les cornes dans une histoire qui le dépasse. Ses proches et la Trêve, elle-même, pourraient être en danger...

     

  • Présentation de l'éditeur :
    Un rêve…, un rêve étrange et prégnant qui plonge la scientifique dans un monde d’horreurs aussi réelles que son propre univers… Un homme… Une créature…, hideuse, et qui la poursuit sans fin. La jungle impénétrable et sombre… et puis la toile visqueuse, l’immense toile de brume. Le piège qui se referme… Son monde… Xaltaïr…, l’elliptique. Un monde décentré, loin des trépidations d’un univers pris de folie dont les chroniques rapportent les frasques de la junte humaine aux prises avec ses créatures. Quand Isys doit emprunter la voie de Thanaos, la forêt mythique au sein de laquelle vivent d’effrayants Mutants, les Hommes-Arachnees, elle pense qu’elle n’en reviendra pas. Avant même que les membres de l’expédition ne parviennent au camp de base, au cœur de ces espaces inviolés, le contact est déjà établi avec celui que l’on nomme le Grand Arachnee ou le Démiurge de la race.

    Christine Barsi :
    L’auteure est une scientifique et une artiste qui a fait des études en biologie et science de la nature et de la vie, cherchant à comprendre ce qui anime le genre humain. L’auteure travaille dans les ressources humaines et l’ingénierie, écrivant en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif huit romans publiés à compte d’éditeur.


    Titre : La Passion de l'Arachnee - Tome 1
    Autrice : Christine Barsi
    Site de l'autrice : http://christinebarsi.com 
    Page Facebook de l'autrice : https://www.facebook.com/ChristineBarsi.romanciere 
    Présentation YouTube de l'autrice : https://youtu.be/A-u5P6w6z-U 
    Editeur : 5 Sens Editions

    Prix du livre numérique : 10,21 € : https://catalogue.5senseditions.ch/fr/livres-numeriques/344-la-passion-de-l-arachnee-tome-1-format-numerique.html 

     

    Interview de Christine Barsi

    Présentez-nous votre ouvrage...
    La Passion de l’Arachnee est une trilogie de science-fiction passionnelle faisant partie de ma saga des Mondes Unifiés. Une déclinaison de La Belle et la Bête sur le registre de la science-fiction et des mutations dont voici le pitch :
    « Passionnée par les races mutantes d’une colonie excentrée rattachée à la Terre, une scientifique devra parcourir avec ses compagnons des distances considérables afin d’en étudier l’une des espèces prédominantes. Un périple interminable qui mènera l’expédition de sa capitole jusqu’aux failles de Krystiens et l’Océan Brun Rouge, pour s’achever dans les profondeurs inquiétantes du domaine arachnee au sein de la forêt mythique de Thanäos, là où se dissimulent les pires créatures de Xaltaïr. »
    Le tome 1 s’intitule : « L’Odyssée »
    « Un rêve…, un rêve étrange et prégnant qui plonge la scientifique dans un monde d’horreurs aussi réelles que son propre univers… Un homme… Une créature…, hideuse, et qui la poursuit sans fin. La jungle impénétrable et sombre… et puis la toile visqueuse, l’immense toile de brume. Le piège qui se referme… Son monde… Xaltaïr…, l’elliptique. Un monde décentré, loin des trépidations d’un univers pris de folie dont les chroniques rapportent les frasques de la junte humaine aux prises avec ses créatures. Quand Isys doit emprunter la voie de Thanaos, la forêt mythique au sein de laquelle vivent les effrayants Hommes-Arachnees, elle pense qu’elle n’en reviendra pas. Avant même que les membres de l’expédition ne parviennent au camp de base, au cœur de ces espaces inviolés, le contact est déjà établi avec celui que l’on nomme le Grand Arachnee ou le Démiurge de la race. »

    Quels sont les thèmes abordés dans ce roman ?
    Mes thèmes privilégiés, ici, sont les déviances et les mutations qui sévissent et qui divergent des normes édictées par les bien-pensants. J’apprécie d’approfondir ce thème de la folie humaine bien trop centrée sur une réalité commune qui éloigne l’Humanité de la richesse de sa diversité. J’entends révéler ce handicap qui nous tient captif d’une geôle invisible ainsi que le poisson dans son bocal, et de retravailler sous différents angles cette aberration de l’homme qui ne cherche pas à s’affranchir de son quotidien trop bien huilé, mais oh combien limitatif !
    Un autre thème explore les affres des lobbies scientifiques jouant avec le génome humain. Enfin, j’aime faire vivre et s’exprimer mes personnages, les exposer sur ces divers sujets, leur offrir malgré un contexte et un environnement difficile, des alternatives ainsi qu’une magnifique histoire d’amour qui les rapprochera en dépit de tout.

    Vos livres présentent généralement une illustration de 1re de couverture qui capte l’intérêt des lecteurs. Avez-vous toute latitude quant au choix de cette illustration ?
    5 Sens Éditions met à la disposition de ses auteurs la banque d’images Adobe Stock dans laquelle l’éditeur possède un certain nombre de licences disponibles. Il y a là, matière à trouver son bonheur même si la recherche de l’illustration idéale nécessite d’y consacrer beaucoup de temps. Il m’arrive également de puiser l’inspiration dans Pixabay.
    Pour le tome 1 de La Passion de l’Arachnee, j’ai privilégié exceptionnellement les talents artistiques de Nicolas Schill, un ami photographe qui a profité du confinement pour se pencher sur ce projet et qui a su me proposer l’illustration que j’avais en tête à partir de fichiers de la banque d’images Pixabay.
    Ce que j’apprécie chez l’éditeur, c’est qu’il laisse à l’auteur toute l’autonomie qu’il souhaite quant à la 1re de couverture. Bien entendu, nous échangeons sur le sujet afin que le choix final soit cohérent par rapport à l’histoire romanesque. Mais à la toute fin, 5 Sens Éditions nous donne la main et, ça, ça n’a pas de prix pour un écrivain.

    Pourriez-vous nous citer quelques passages du tome 1 deLa Passion de l’Arachnee ?
    1er extrait : La Chroniqueuse :
    « Un article d’infotaliste qui a de l’impact est un article qui a dénaturé et corrompu le sens premier du contenu d’une interview. Haro sur les infotalistes. »

    « L’infotaliste jubilait. Sa dernière chronique sur les conditions sordides des laissés-pour-compte d’une zone de parcage, dans un secteur paumé d’Europia, avait fait mouche. Son nom avait été remarqué, ainsi que son reportage sur le sort bien trop confortable des Déviants résidant dans ces réserves d’un nouveau genre. Son nom avait été remarqué parce qu’elle avait détourné l’article de sa raison première qui était de démontrer l’adversité qui frappait ces déshérités. En parfaite contradiction avec sa mission, l’infotaliste avait jeté l’opprobre sur ces êtres à la marge, et par ce moyen retors apporté la lumière sur sa petite personne bien éduquée des vices et coutumes orchestrés par les plus éminents thaumaturges et ensorceleurs financiers. Elle voulait appartenir à leur communauté, par toutes les méthodes à sa disposition. »

    2d extrait : Le Palais de la ville marchande, Issbar :
    « Il contempla par la baie vitrée, l’océan Brun Rouge qui s’étalait jusqu’au pied de la falaise, en haut de laquelle ce palais s’érigeait. Les eaux atteignaient leur maximum ; le Grand Vide ne tarderait plus. D’ici une demi-révolution24, peut-être une, les eaux disparaîtraient sur des centaines de kalends alentour. L’homme frissonna comme à chaque fois qu’il se remémorait cette période hostile pour tous ceux qui comme lui – c’est-à-dire près de la moitié de la population humaine de la Colonie – vivaient à proximité des bords de l’océan… »
    « … Althan s’arracha au charme maléfique des eaux sombres, et reporta son attention dans le salon à sa disposition. Une vasque aux reflets argentés contenait une substance laiteuse d’où jaillissaient par moments, les yeux globuleux et noirs des Viturines, petits êtres amphibiens connus pour l’effet providentiel de leurs morsures. Si l’on trempait les doigts dans le bassin, deux ou trois de ces créatures venaient d’emblée s’y accrocher de leurs mâchoires démesurées ; en s’agitant, elles vous suçaient le sang, le vidant de son éventuelle contamination radioactive dans des proportions stupéfiantes. Ces bestioles représentaient un traitement de choc pour les victimes d’irradiation importante. Pour autant, la morsure extrêmement douloureuse de ces avortons vampiriques n’avait rien d’un remède agréable. »

    3e extrait : La vallée de Wokuntz, domaine arachnee :
    « Comment qualifier la beauté d’une chimère, alors que tout ce qui la détermine existe pour vous séduire avant de vous corrompre si ce n’est vous dévorer ? »
    « Très loin de là, dans la vallée cachée de Wokuntz, au sein des fortifications de Wokln, la troupe de Mutants ahanait sous les soleils jumeaux. L’entraînement quotidien que leur imposait leur mentor relevait d’un défi permanent à leur agilité et leur endurance. Ils se dévouaient cependant à son autorité, et pour rien au monde n’auraient été à l’encontre de l’un de ses ordres. Grâce à lui et à son idéal, leur peuple n’avait jamais été aussi puissant, ni aussi important, ni aussi organisé. »

    Comment se déroule pour vous cette année 2020, alors que nous sommes tous en confinement du fait de l’épidémie de grippe ?
    Tout d’abord, je ne pensais pas avoir le temps nécessaire à la parution du 1er opus de cette trilogie. Le miracle est survenu, puisque La Passion de l’Arachnee vient d’ores et déjà de sortir au format numérique. En ce moment même, je travaille le tome 2 et j’ai bon espoir de le soumettre à l’éditeur suffisamment tôt pour qu’il ait une chance d’être publié d’ici à la fin d’année. Le confinement pour moi n’a pas d’impact négatif dans ma production littéraire, puisqu’il m’a permis de m’adonner davantage à cette passion de l’écriture qui m’absorbe tout en profitant de ma jolie maison percheronne plus à même de m’apporter le calme serein qui m’est nécessaire pour me plonger dans mes univers.
    Ah ! Mais j’allais oublier le côté désagréable du confinement qui a freiné les ventes de livres et mis en danger les éditeurs, et interdit que se déroulent les salons du livre auxquels je devais assister, cette année, plus que par les années passées. Hélas, ce n’aura pas été le cas ! J’aspire cependant à ce que le Salon Fantastique du Parc floral de Vincennes qui s’organise pour la fin aout puisse se tenir, mais le pourra-t-il ? Le futur nous le dira. Peut-être…
    Enfin, j’ai récemment été contactée par un éditeur connu sur la place littéraire afin de participer à un projet d’anthologie du merveilleux et de la SF. Je compte bien m’intégrer à ce projet, et j’ai une bonne idée de comment je m’y prendrai et dans quel manuscrit amorcé je puiserai l’inspiration.

    Un dernier mot pour les lecteurs ?
    Je l’ai déjà exprimé dans le précédent interview, mais je le réaffirme ici : la persévérance est le maître mot de l’existence dans la poursuite de ses rêves de quelque ordre qu’il soit. Soyez fidèle à ces rêves qui vous emporteront bien plus loin que ce que vous l’escomptiez à l’origine.

  • Présentation de l'éditeur :
    Des pays ravagés par une pandémie due à un virus inconnu.
    Seuls les adultes y semblent sensibles.
    La mort frappe sans délai.

    Pourtant, quelques adolescents tentent de s'organiser et de survivre dans un monde où les instincts primaires ont pris le pas sur la morale.

    Il existe pourtant de l'espoir.

    Titre : Brune
    Auteur : Rodrigo Arramon
    Editeur : RROYZZ Editions

    Prix version numérique : 3,49 € : https://www.rroyzzeditions.com/fr/science-fiction-anticipation/231-epub-brune-rodrigo-arramon.html 

  • Les Dieux sans visage, roman de Jean Bury

    Présentation de l'éditeur :
    Dans un futur proche, tous les adolescents ont subitement muté quand est arrivée la puberté. Ils sont devenus les écorchés, mutants à la terrible sauvagerie.
    Le monde est dévasté, le désordre règne. Paul, généticien, accompagné par deux militaires, tente de rejoindre un centre médical qui pourrait détenir des informations cruciales sur les raisons de la mutation.
    Les trois hommes vont devoir traverser des jungles hostiles, des villes en ruines, en tentant d’éviter les écorchés. Séparé de ses compagnons par les circonstances, Paul va rencontrer Claire et son frère, et trouver une aide inattendue.

    De l’action et beaucoup d’humanité. Tels sont les deux ingrédients de ce roman. Face à la sauvagerie, dans cette atmosphère de fin du monde, l’espoir en l’humanité reste entier. Au fil du récit et jusqu’au dénouement, des liens se tissent, évoluent, se cassent et se renforcent.
    On se prend au jeu et on s’identifie immédiatement au professeur, en quête de la vérité.

     

    Titre : Les Dieux sans visage
    Auteur : Jean Bury
    Editeur : RROYZZ Editions

    Prix format papier : 18,00 € : http://www.rroyzzeditions.com/index.php?id_product=41&controller=product&id_lang=2 

    Prix version numérique : 4,49 € : https://www.cultura.com/les-dieux-sans-visage-tea-9782363722522.html 

     

     

  • Présentation de l'éditeur :

    Ils sont peu nombreux, mais ils sont partout : les Prédateurs.
    Ils chassent la nuit, en meute, à la recherche de chair humaine. Le jeune Erwan est cependant une anomalie dans une de ces familles. Il est simplement... humain.
    En opposition avec ce mode de vie, malmené, il disparaît.
    C’est le moment que choisit Alain, son frère aîné, pour rompre avec ses pairs. 
    Avec l’aide de Camille, une jeune scientifique, il va tenter de détruire cette bestialité qui est en lui. Tout en luttant contre une organisation de jeunes Prédateurs qui souhaite mettre le monde à feu et à sang.

    Comme dans ‘Les Dieux sans visage’, Jean Bury met en avant des thèmes qui lui tiennent à coeur : la puissance de l’affection, l’entraide et le soutien, même dans des univers noirs comme celui-ci.
    Il réussit le pari de mettre en avant l’humanité dans l’inhumanité.

     

    Titre : Aniki
    Auteur : Jean Bury
    Editeur : RROYZZ Editions

    Prix version papier : 18,00 € : http://www.rroyzzeditions.com/index.php?id_product=51&controller=product&id_lang=2 

    Prix version numérique : 4,49 € : https://www.cultura.com/aniki-tea-9782363722539.html 

     

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    Présentation de l'éditeur :
    Guitariste de talent, Kim part en tournée, parmi cinq gaillards, à bord d’un autobus aménagé. Si, d’un côté, elle arrive à se trouver une place et rencontrer l’amour, de l’autre, un homme inquiétant rôde autour d’elle et perturbe cette aventure, qui s’annonçait pourtant sensationnelle.

    Titre : Kim
    Autrice: Véro-Lyse Marcq
    Editeur : Sharon Kena
    Nombre de pages : 288 pages

    Prix format papier : 16,00 € : https://www.leseditionssharonkena.com/precommander/2275-2122-kim-de-vero-lyse-marcq.html#/64-format-livre 
    Prix version numérique : 6,99 € : https://www.leseditionssharonkena.com/precommander/2275-2120-kim-de-vero-lyse-marcq.html#/65-format-e_book 

     

     

     

  • Présentation de l'éditeur :
    Gürwin est un Morpho ; un individu génétiquement modifié pour vivre dans l’espace. Pourchassé, il tombe en panne sèche dans la Bordure. En échange de son précieux carburant, le pilote accepte de pirater un antique cargo spatial ; le gobe-lumens Masse Vectorielle, et de convoyer son butin sur la planète Kartagen. Ce serait un bon plan si l’équipe du commanditaire de Gürwin ne se composait pas d’une inhumaine revêche et d’un cyborg vindicatif, tandis que le pilote est persona non grata sur Kartagen. Le trio ne prévoyait pas non plus que des méta-corporations en voudrait à leur chargement. Bref, Gürwin ne se doute pas un seul instant qu’en acceptant ce contrat ses ennuis ne feront qu’empirer.

    Titre : Masse vectorielle
    Auteur : Paul Fichtre
    Editeur : Pulp Factory
    Genre : Science-fiction

    Prix format papier : 12,50 € : http://pulp-factory.ovh/catalog/masse-vectorielle-de-paul-fichtre/ 

  • Présentation de l'éditeur :
    Crois en moi ! Les mots l’atteignaient jusque dans ses rêves. Que signifiaient-ils pour s’imposer à elle tels des leitmotivs qui n’en finissaient plus de dérouler leur trame inepte. Tel un mot-clef l’incitant à se reprendre en main. Le rappel d’un évènement dont elle savait qu’il existait, mais dont elle n’avait plus aucune réminiscence. Elle avait peint une scène s’y rapportant, sur une esquisse toilée mise de côté, une nuit qu’elle ne parvenait pas à dormir alors que l’expression ultime et désespérée lui hurlait de se souvenir. Parfois, même l’époque dans laquelle elle vivait se mêlait à d’autres censées n’avoir jamais été. Mais chaque fois, l’antique castel sur les berges de la Water of Leith y apparaissait. Pour une raison obscure, la vieille demeure sur son socle rocheux la fascinait. Elle n’osait plus franchir les grilles rouillées de son parc en dormance ni l’approcher plus près que le second coude de la rivière après les chutes. Ce n’était pas tant son abandon ou l’état de dégradation de ses hauts murs et dépendances qui l’intriguaient, qu’une espèce d’aura qui repoussait naturellement ceux qui s’efforçaient de l’aborder et d’enfreindre la menace implicite des ombres et de la brume qui la cernaient. Son futur était là, elle le savait. Un jour ou l’autre, il la rattraperait. Une légende courait à ce sujet, une légende qui parlait d’un vampire et de sa proie.

    Christine Barsi :
    L’auteure est une scientifique et une artiste qui a fait des études en biologie et science de la nature et de la vie, cherchant à comprendre ce qui anime le genre humain. L’auteure travaille dans les ressources humaines, l’informatique et l’ingénierie, écrivant en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif sept romans publiés à compte d’éditeur.


    Titre : Déviance - Tome 3
    Autrice: Christine Barsi
    Site de l'autrice : http://christinebarsi.com
    Page Facebook de l'autrice : https://www.facebook.com/ChristineBarsi.romanciere
    Présentation YouTube de l'autrice : https://youtu.be/A-u5P6w6z-U
    Editeur : 5 Sens Editions
    Nombre de pages: 490 pages

    Prix du livre papier : 21,27 € : https://catalogue.5senseditions.ch/fr/science-fictionfantasy/297-deviance-tome-3.html


    Interview de Christine Barsi

    Présentez-nous votre ouvrage...
    Le tome 3 de Déviance est une romance vampirique qui se déroule en 1830 sur Édimbourg, en Écosse.
    Une romancière se confronte à sa vie présente qui s’entremêle à une précédente du fait d’un sortilège cherchant à combattre le sort mortel d’un sorcier noir et à sauvegarder son existence. La jeune femme devra affronter également le vampire dont elle est toujours la proie.
    « … Son futur était là, elle le savait. Un jour ou l’autre, il la rattraperait. Une légende courrait à ce sujet, une légende qui parlait d’un vampire et de sa proie. »

    Votre 7e roman vient d’être publié par 5 Sens Éditions tandis que votre tout 1er livre se publiait il y a moins de trois ans ; comment faites-vous pour assurer un tel rythme ?
    J’ai commencé à vraiment écrire en 1998 avec l’intention de ne plus jamais arrêter. Le soir après le travail, le week-end, les vacances, je profitais, et je profite encore, de tous les instants qui me sont offerts pour m’adonner à cette passion. Mon mari me demandait invariablement pourquoi je ne soumettais pas mes romans les uns après les autres plutôt que de les cumuler, et je lui répondais invariablement que lorsque je serais connue, je n’aurais plus autant de liberté et je me refusais à expérimenter ces moments de pression lorsqu’une maison d’édition jette son dévolu sur l’artiste. J’aspirais à apprécier, goûter chaque instant de ces bribes de créations de mes mondes et de mes personnages sans quiconque ou système pour m’inciter à écrire plus rapidement. Je lui affirmais encore que lorsque je serais prête, je m’attèlerais à l’étape de la soumission de mes manuscrits aux éditeurs.
    En près de 18 années, j’ai donc engrangé une petite vingtaine de manuscrits plutôt bien avancés allant de plus de cent pages à plus de 500 pages ; lorsque j’ai estimé le moment voulu, je me suis lancée. Et c’est 5 Sens Éditions qui m’a proposé le premier contrat en 2017 pour le tome 1 de Déviance. L’un de ces moments magiques que tout artiste peut expérimenter dans son existence mouvementée.
    Pour renouer avec le fil de mon discours et répondre plus pleinement à la question, après ce premier contrat, je n’ai plus eu qu’à reprendre un à un mes premiers manuscrits les plus achevés, les amener à leur aboutissement et les soumettre aux éditeurs.

    Pourquoi ce choix de 5 Sens Éditions ?
    J’ai soumis mes tout premiers manuscrits à plusieurs maisons d’édition qui acceptaient l’envoi par mail ou via leur site Web. J’ignore les éditeurs qui n’admettent les manuscrits que par courrier. Dans notre monde moderne, c’est inimaginable, et quel gâchis !
    J’apprécie de collaborer avec une maison d’édition indépendante qui me laisse toute l’autonomie nécessaire pour le travail de recorrections ainsi que le choix de la couverture dont je sélectionne une illustration sur une banque d’images comportant des milliers de photos. J’ai le sentiment de davantage contribuer au grand œuvre de cette manière plutôt que de m’intégrer aux innombrables projets d’un éditeur ayant pignon sur rue. Mais la contrepartie, c’est que le niveau de promotion n’égalant pas celui de ces grandes maisons je me dois plus régulièrement de participer à ces actions. À la fois un handicap et un privilège qui me font me plonger dans les arcanes de ce secteur de la littérature et en appréhender en accéléré les rouages. J’ai appris beaucoup plus vite de cette manière, j’ai conçu mon site Web et trouvé un hébergeur, me suis immergée dans les réseaux sociaux alors qu’une année auparavant je n’y connaissais rien. Et je dois dire que je suis surprise par la richesse des échanges que l’on retrouve sur ces places fortes du grand Internet, si l’on s’en donne la peine !

    Pourriez-vous nous citer quelques passages du tome 2 deDéviance ?
    1er Extrait, Prologue :
    « Mon esprit vagabondait ainsi qu’un adolescent en mal d’aventures. Je le laissais courir devant, puis le rattrapais en le raisonnant. »

    2d Extrait, Prologue :
    « Crois en moi ! Les mots l’atteignaient encore, jusque dans ses rêves. Que signifiaient-ils pour s’imposer à elle chaque nuit, puis à chacun de ses réveils. C’était comme des leitmotivs qui n’en finissaient plus de dérouler leur trame inepte. C’était comme un mot clef qui devait l’inciter à se réveiller et se reprendre en main, mais dont l’opérationnalité n’avait plus de fonctionnel que le concept. Le rappel d’un évènement dont elle savait qu’il existait, mais dont elle n’avait plus aucune réminiscence. Fallait-il donc s’y appesantir, encore et encore, ou bien abandonner cette quête effrénée d’un sens qui lui échappait, lui échapperait toujours ? Elle avait peint une scène s’y rapportant, sur une esquisse toilée mise de côté, une nuit qu’elle ne parvenait pas à dormir alors que l’expression ultime et désespérée lui hurlait de se souvenir. »

    3e Extrait, Prologue :
    Pour une raison obscure, la belle demeure sur son socle rocheux la fascinait depuis toujours. Mais alors que son esprit audacieux l’entraînait régulièrement aux découvertes, la jeune femme n’avait jamais tenté jusque-là – du moins pas depuis qu’elle avait atteint le seuil de l’âge adulte – de franchir les grilles rouillées de la propriété en dormance ni l’approcher plus près que le second coude de la rivière après les chutes, au-delà desquelles se trouvaient les fondations de la mystérieuse demeure. Ce n’était pas tant son abandon ou l’état de dégradation de ses hauts murs et dépendances qui l’intriguaient, qu’une espèce d’aura qui repoussait naturellement ceux qui s’efforçaient de l’aborder et d’enfreindre la menace implicite des ombres et de la brume qui la cernaient.

    4e Extrait, Chapitre La crypte :

    Extrait du tome III de Déviance :
    Les Aulnes Jumeaux, par l’égrégore des Mackrey : «La mort n’a sur moi aucune emprise réelle, hormis le poids des années qui pèsent sur ma conscience ainsi qu’un leitmotiv qui jamais ne s’achève. Mais plus que tout, me pèse cette détention qui me tient éloigné de la lumière, de toutes les lumières qui sont synonymes de la moindre parcelle de vie en dehors de la mienne. »
    Il dormait, profondément enveloppé d’une obscurité immanente, immergé dans le bain insondable de ses pensées qui cognaient à l’arrière de son crâne sans lui concéder la paix à laquelle il aspirait. Les ombres et les pierres de l’antique demeure se refermaient sur lui comme un embaumement naturel auquel il ne parvenait pas à s’arracher.
    Jamais.
    Même alors qu’il sentait peser au-dessus de lui, comme en cet instant, le poids urgent de pensées vaguement familières bien que divergentes des siennes. Les ombres toujours, et cette volonté inconsciente de rester accrocher au tombeau qui l’isolait et dont les parois le cernaient chaque jour davantage. Il aurait souhaité qu’elles se dissolvent, au contraire.
    Comme ce matin.

    Comment s’est déroulée pour vous cette année 2019 qui s’achève ?
    Ce fut une année riche en découvertes. J’ai participé à deux salons du livre, celui de Mennecy début février 2019 et le Salon Fantastique de l’espace Champerret fin octobre 2019. De même, j’ai réalisé plusieurs séances de dédicaces au centre commercial Auchan de Fontenay-sous-Bois.
    Je me suis fait connaître de la mairie de ma ville, Nogent-sur-Marne, et la Direction culturelle de celle-ci organisera du fait de mes interactions une rencontre avec les écrivains de la ville en mars 2020. C’est un vrai résultat et un beau challenge à venir. Plusieurs de mes romans sont présents sur les étagères de la bibliothèque de ma ville et celles de la librairie Agora du cœur de Nogent.
    J’anime mon site Web et je suis créative sur les réseaux sociaux du mieux que je peux.
    Enfin, j’aurais publié cette année trois livres, SolAs un roman de science-fiction et deux tomes de ma romance vampirique Déviance dont ce tout dernier.

    Quels sont vos projets pour l’année 2020 ?
    Je serai présente sur le salon du livre et de la BD de Mennecy, les 1er et 2 février, ainsi que sur le Salon Fantastique du parc floral de Vincennes les 29 et 30 août 2020. Je participerai également à cette fameuse rencontre des écrivains nogentais ouverts à leurs publics, le 7 mars prochain.
    Je travaille avec une effervescence contenue sur la réécriture d’une trilogie de science-fiction qui mettra en exergue les mutations génétiques d’un univers en perdition. J’aimerais beaucoup que le premier tome soit publié fin 2020, mais nous verrons si j’ai été suffisamment prolifique. Écrire demande beaucoup de concentration en parallèle des nombreuses activités que génère le quotidien.
    J’ambitionne de traduire en anglais mon premier tome de Déviance, aussi j’expérimente le sujet à mes moments « perdus ». Un autre souhait, enfin, c’est que cette romance vampirique soit un jour portée au grand écran. Je me penche depuis quelque temps sur la faisabilité d’un tel projet et pour ce faire, je prends connaissance des différentes méthodes pour écrire un script.


    Un dernier mot pour les lecteurs ?
    La persévérance est le maître mot de l’existence dans la poursuite de ses rêves de quelque ordre qu’il soit.

  • Quatrième de couverture :

    Tandis qu'il s'activait, pelotait ses seins, ahanait comme une bête, elle imaginait sa mort, le goût de son sang, le bruit de son squelette se brisant sous ses dents. Il prit son temps, savourant la chair chaude. Parfois, il lui parlait de Dieu, de sa mission, et à chacune de ses élucubrations, elle sentait un regain dans son excitation.
     
    LA FAIM DU MONDE
    Une cité encerclée par la maladie. Des créatures de cauchemar qui rôdent dans la campagne. Des personnages aux abois, luttant pour leur survie. Mais dans un monde où le foie compte plus que la foi, la vie a-t-elle encore un sens ?
     
    GRETA
    Une prison dans le désert. Un lieu hors du monde et inhumain. Greta a accepté d’y travailler. Pour son malheur. Car après avoir craqué, elle passe du côté des détenus. Et son calvaire ne fait que commencer.
     
    Après Thanatéros, publié en mars 2018 dans la même collection, Catherine Robert livre deux nouveaux romans d’horreur saisissants. Le premier, La faim du monde, est un inédit qui devrait combler les amateurs de la série Apocalypse, jadis publiée chez Média 1000. Quant au second, il s’agit de la réédition revue et augmentée de Greta, initialement publié en 2015 chez TRASH Éditions. Entre Post-Apo déviant et dystopie carcérale, l’avenir selon Catherine Robert s’annonce sombre et sauvage. Vous voilà prévenus.

    Titre : Extinctions
    Autrice : Catherine Robert
    Editeur : Rivière Blanche
    Illustratrice de couverture : Daniele Serra
    Nombre de pages : 252 pages

    Prix format papier : 20 € >> https://www.riviereblanche.com/nouveautes-n128-extinctions.html

  • Présentation de l'éditeur :
    Rien ne va plus sur Afrane, colonie nouvellement conquise de l’Union Galactique. Des colons disparaissent, et ceux qui restent sont remontés contre les populations indigènes locales. Les agents des services de l’UG, Abzaa Noo et Daress Crunzel sont envoyés sur place et disparaissent à leur tour. Serro Warfin, leur vieux complice part à leur recherche, aidé par Antor 1700 l’IA de son vaisseau. Il ne pourra qu’y constater le vent de folie régnant sur la colonie. Qui sont ces mystérieux prophètes des étoiles qui guident les indigènes dans leur vengeance contre l’Union ? La réponse à cette question et le chemin vers la liberté de ses amis passent peut être par un voyage à travers un vortex cosmique.

    Titre : Vortex Cosmique
    Auteur : Franck Cassilis
    Editeur : Pulp Factory

    Prix format papier : 12,50 € : http://pulp-factory.ovh/catalog/vortex-cosmique-de-franck-cassilis/#

  • Présentation de l'éditeur :
    Sur la lande des Pennines, dans le Yorkshire, en Angleterre, la rencontre de Caitline Malhon, avec le vampire Sean Mackrey a engendré une métamorphose irréversible chez la romancière.  Captive volontaire avec ses enfants au sein de la forteresse du vampire, Caitline apprend à vivre avec les transformations qui s’opèrent en elle du fait de son nouveau statut. Obsédé par la crainte de perdre son amante encore fragilisée, Sean n’a de cesse de lui inculquer les fondements de son univers vampirique afin qu’elle parvienne à se maîtriser. Il est accompagné dans cette initiation par la guérisseuse de ce secteur hanté du triangle de Barden, qui s’est attachée à leurs personnes dans le but de les préserver des dangers qu’elle entrevoit déjà. En acquérant quelques certitudes sur la manière d’appréhender ses pouvoirs occultes, Caitline se décide à reprendre contact avec son éditeur, et d’amorcer le second tome de son roman Déviance au risque de se retrouver entraînée dans une spirale infernale dont ils ne sortiront pas indemnes du fait de l’influence même du manuscrit sur leur existence.

    Christine Barsi :
    L’auteure est une scientifique et une artiste qui a fait des études en biologie et science de la nature et de la vie, cherchant à comprendre ce qui anime le genre humain. L’auteure travaille dans les ressources humaines, l’informatique et l’ingénierie, écrivant en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif six romans publiés à compte d’éditeur.


    Titre : Déviance - Tome 2
    Autrice : Christine Barsi
    Site de l'autrice : http://christinebarsi.com
    Page Facebook de l'autrice : https://www.facebook.com/ChristineBarsi.romanciere
    Présentation YouTube de l'autrice : https://youtu.be/A-u5P6w6z-U
    Editeur : 5 Sens Editions
    Nombre de pages : 214 pages

    Prix du livre papier : 16,16 € : https://catalogue.5senseditions.ch/fr/science-fictionfantasy/287-deviance-tome-2.html


    Interview de Christine Barsi


    Présentez-nous votre ouvrage :
    Le tome 2 de Déviance est une romance vampirique qui se déroule dans le Yorkshire et ses antres rocheux, en Angleterre dans les premiers temps puis sur Édimbourg en Écosse.
    La rencontre de Caitline Malhon avec le vampire Sean Mackrey a engendré une métamorphose irréversible chez la romancière. Captive volontaire au sein de la forteresse du vampire, celle-ci apprend à vivre avec les transformations qui s’opèrent chez elle.
    De son côté, obsédé par la crainte de perdre son amante encore fragilisée, Sean n’a de cesse de lui inculquer les fondements de son univers. La romancière décide d’amorcer le second tome de son roman Déviance au risque de se retrouver entraînée dans une spirale infernale dont ils ne sortiront pas indemnes.

    Quel est le style privilégié de votre écriture ?
    J’aime que le lecteur puisse s’immerger au cœur des lignes du roman, qu’il puisse admettre leur réalité en dépit des libertés de l’écrivain que je suis à enfreindre les lois du quotidien. Pour ce faire, les détails sont importants pour lui faire croire à l’authenticité de l’histoire en cours. Pour chacun de mes manuscrits, j’effectue une étude approfondie de la région et de l’époque, de la culture et des mœurs, afin d’amener le lecteur à plonger dans une matérialité qui n’est plus celle du monde tangible, afin qu’il la ressente et s’en imprègne. J’apprécie la richesse du vocabulaire employé et l’harmonie entre les mots, ainsi que le rythme de la phrase ; j’y attache, par conséquent, une attention particulière.

    Votre sixième roman vient d’être édité par 5 Sens Éditions ; comment parvenez-vous à mener votre manuscrit jusqu’à la publication ?
    Lorsque j’entreprends l’amorce d’un manuscrit, je m’y attèle avec l’intention de le terminer, de le conduire au terme de l’aventure. L’intention est essentielle, si l’on veut atteindre son objectif. L’écriture d’un roman peut paraître une tâche ingrate, et elle l’est. Qui aime rester seul face à la page de son calepin ou de son ordinateur, afin d’y coucher des lignes et des lignes de caractères sans quelques moments privilégiés de convivialité avec un être humain autre que soi-même ?
    En revanche, cette intention va de pair avec la créativité et l’amour des idées que l’on s’empresse d’intégrer à son manuscrit en devenir. C’est une étape merveilleuse qui nous métamorphose en un dieu de son univers en gestation. Quand le premier jet du scénario s’achève, il est bon de se poser quelque peu afin de laisser le temps faire son œuvre de réflexion. Par la suite, en ce qui me concerne, je reprends la trame depuis le tout début ; ma relecture me permet de développer chacun des chapitres plus ou moins complétés. Il y aura plusieurs de ces phases de réécriture avant que l’ensemble devienne un tout cohérent. Mais ensuite, n’imaginez pas que l’on ait atteint son but. Il reste l’étape rébarbative pour beaucoup et pour moi en particulier, du moins d’une certaine façon, de l’enrichissement de son vocabulaire, de son style et de ses expressions. Cette étape dévore ou consomme ou encore monopolise énormément de temps. Et quand je parle de « dévorer ou consommer », l’image est bien là. Il faudra quatre, cinq, six, voire davantage de ces « remodelages ». Mais même en les effectuant, en se confrontant à l’épreuve de la persévérance et à la traversée d’un désert qui n’en finit pas, l’on aura la satisfaction de cette essence créative qui nous prend aux tripes et nous transcende presque malgré nous tout au long de ces séquences.
    Il vous faudra ensuite trouver deux ou trois relecteurs dont certains devront se focaliser sur les incohérences potentielles dans votre manuscrit. Et il y en aura toujours, ne mésestimez pas cette étape-ci.
    Pensez à accomplir les actions nécessaires de quelques sortes qu’elles soient afin de protéger votre manuscrit, une fois celui-ci finalisé.
    Enfin, quand viendra le moment de la soumission aux maisons d’édition, prenez votre temps. Tout comme moi dans les débuts, vous aurez le désir presque irrationnel de vouloir vous précipiter et d’envoyer votre précieux ouvrage bien trop rapidement en omettant certaines des consignes des éditeurs répertoriés, et vous ferez fausse route. Surtout, prenez votre temps pour sélectionner votre éditeur et bien suivre ses directives, bien rédiger votre mail ou votre courrier et bien joindre les éléments spécifiés.
    L’attente commencera ; et elle pourra s’avérer très longue en termes de mois. Ce n’est pas le plus important. Le plus important alors, c’est de conserver cette intention sans faille qui vous a guidé jusqu’à l’achèvement de votre manuscrit.

    Pourriez-vous nous citer quelques passages du tome 2 de Déviance ?
    Premier extrait :
    Marinenh, mon pseudonyme, mon nom d’artiste, mon icône sacrée. Un nom qui coule ainsi qu’un torrent impétueux au plus profond de moi, mais ainsi qu’une rivière au cours tranquille tout en surface : une apparence ; une simple apparence.

    Second extrait :
    GrandMa Sitwell, la mère de la mère de sa mère, s’avérait peu causante, peu sociable ; et pourtant, dans sa chaumière de guingois qui arborait la rose blanche, l’emblème du Yorkshire, se croisaient nombre de gens du pays venus chercher quelques remèdes à leurs maux habituels.
    Plus d’un siècle que GrandMa avait quitté la Terre pour accéder, peut-être, à une meilleure vie, à ce qui se disait alors. Une meilleure vie ! Comme si l’on pouvait connaître les prétentions des dieux, là, en haut !
    Rany ne croyait qu’en l’efficience de ses préparations à base de simples, d’herbes et de plantes. Elle avait été jeune, oui. Mais sa vie, comme celle de beaucoup d’autres, n’avait pas été facile. Comme tous les gens de sa condition, elle avait trimé ainsi que ses sœurs, ses frères et ses parents, ainsi que tous ceux des villages proches dans les Craven.
    Mais pour elle, GrandMa avait fait la différence. Son existence s’était déroulée d’une manière divergente, plus sauvage dans un sens, davantage d’autonomie aussi, mais aussi plus de solitude et une grande indépendance. Ce qui impliquait une certaine maîtrise de ses choix personnels, qu’on lui avait longtemps enviés.
    Devenir guérisseuse tenait du sacerdoce, et ces braves gens et leur langue bien pendue ne s’étaient pas demandés si les contreparties, pour elle, n’avaient pas été plus laborieuses que son choix lui-même.

    Troisième extrait :
    Caitline admirait une branche de houx au cœur d’un arbuste grimpant. Les petites baies fleuries jetaient des éclats rubis dans la nuit. La pâleur de l’astre lunaire contrastait avec le ciel indigo et les graines d’étoiles qui le parsemaient. C’était beau ! Majestueux. Beaucoup plus beau que dans son état précédent.
    « Son état précédent », c’est ainsi qu’elle se voyait dans l’histoire d’avant. Une histoire qui n’avait plus lieu d’être, mais qui pourtant se poursuivait, sur une autre trame. Une trame qu’elle n’avait pas souhaitée, mais que dorénavant elle aurait revendiquée plus que tout au monde.
    Ses perceptions s’étaient aiguisées en même temps que la confirmation de sa condition, en même temps que ses pensées se modifiaient pour emprunter un schéma plus percutant, que ses membres se renforçaient et que l’énergie en elle pulsait une vigueur maléfique, bien que jugulée.
    Il ne s’était écoulé que quelques semaines depuis que Sean avait provoqué en elle la métamorphose, que les sens affolés du vampire avaient trahi l’homme en lui pour faire d’elle son égérie, un être plus tout à fait humain et en même temps tellement humain !


    Quatrième extrait :
    S’élever au-dessus de la plèbe n’avait jamais été ce à quoi aspirait Caitline Malhon — Caitline Marinenh de son nom d’auteure. Aujourd’hui, dans son état de vampire, il en allait différemment ; aucune autre option que de s’élever, si elle voulait survivre. Dire qu’elle avait écrit ces centaines de lignes sur les vampires, au cours de sa précédente existence !


    Cinquième extrait :
    Sa fille naviguait d’un mari à l’autre. Le premier avait été talentueux et généreux, autant que le second avait été vénal et étriqué. Mais le dernier possédait cette flamme étrange, qu’il pressentait dorénavant chez sa propre fille. À moins que cette chose ait toujours été là, chez elle et dans son ascendance ?

    Quels sont vos projets pour l’avenir ?
    Pour le dernier trimestre de l’année 2019, je m’attache à la réécriture d’un roman de science-fiction conséquent d’environ 1400 pages au format de mon éditeur. Celui-là devrait m’accaparer beaucoup de temps et de très nombreuses phases de recorrections en perspective, en dépit de celles qui se sont d’ores et déjà échelonnées derrière moi. Mais je serai patiente. Je suppose qu’il sera achevé fin 2020 et sera publié en 2021, peut-être avant si je suis à ce point déterminée. Simple conjecture de ma part, mais je ne suis jamais très loin de la réalité dans mes estimations.
    Dans le même temps, j’attends les résultats de la soumission du tome 3 de Déviance que je compte bien faire éditer en 2020, quitte à me lancer dans l’autoédition.  
    Je serai présente sur le salon fantastique de la porte de Champerret, des 31 octobre, 1er et 2 novembre, pour finir en beauté cette année de travail acharné. L’année 2020 s’amorcera par ma participation au salon du Livre et de la Bd sur Mennecy, début février.
    Je subodore que d’autres éléments, encore inconnus à ce jour, viendront s’intégrer à mon existence d’auteure opiniâtre pour l’enrichir et me faire grandir et rebondir plus haut encore. N’oubliez pas la détermination !

    Un dernier mot pour les lecteurs ?
    La lecture et l’écriture permettent au lecteur et à l’écrivain de vivre plusieurs existences en parallèle, et de prendre ainsi beaucoup plus de recul face à la réalité quotidienne. Je ne peux donc qu’encourager de vous lancer, vous l’auteur, dans l’écriture de votre prochain manuscrit, et de plonger, vous le lecteur, dans le livre que vous aurez remarqué entre tous.

  • Présentation de l'éditeur :
    Originaire de 1928, Victor Bruneville parvient à voyager dans le passé et à revivre le jour de l’arrestation des Templiers en 1307. Il ramène de son périple un calice en émeraude. À son retour en 1928, des meurtres horribles commencent à ensanglanter Paris. Deux autres coupes, sœurs de celle ramenée par Bruneville sont dérobées dans des musées parisiens. Entraînant une journaliste intrépide, un étudiant en histoire et un gardien de musée, vétéran de la Grande Guerre, il va essayer de résoudre ces étranges mystères. Quels peuvent être les liens entre son voyage, les vols et les crimes qui s’intensifient ? Bruneville et ses amis devront accepter de se frotter au surnaturel. Seront-ils obligés de s’allier aux mystérieux lithomanciens qui prétendent vouloir les aider pour résoudre le mystère des coupes d’émeraude ?


    Titre : Les coupes d’émeraude
    Auteur : Guillaume Fourtaux
    Editeur : Pulp Factory
    Genre : thriller paranormal - fantasy urbaine

    Prix format papier : 14,00 € : http://pulp-factory.ovh/catalog/les-coupes-demeraude-de-guillaume-fourtaux/

  • Présentation de l'éditeur :
    L’essence plasmatique est au cœur de toutes les productions sur l’ancienne Terre rebaptisée Origine. Les grands industriels d’Eurafrique s’arrachent les droits de son extraction sur les astéroïdes. Lorsqu’un géocroiseur d’un type très particulier approche de leur sol, il est d’abord question de le piéger à l’aide d’un tracteur gravitationnel et de le placer en orbite.

    L’astrophysicienne et sensitive, Maylis Lhan est envoyée sur ce monde en miniature où les périls sont légion et le précieux plasma stellaire omniprésent. Mais qu’en est-il exactement de ce dernier ? La jeune femme apprendra à reconnaître dans sa trace imperceptible des signes d’une humanité que personne ne soupçonne, et lorsque la relation singulière qui la lie à son opérateur s’engage dans une direction inattendue, elle devra assumer ses choix et oublier ce qu’elle est pour l’accueillir.

    C’est au cœur de l’astéroïde SolAs, ainsi que sur Origine, que se jouera le final alors que les grandes variations climatiques ont bouleversé l’équilibre des puissances en place et fait des terres canadaskiennes ainsi qu’étatsunienes, une sorte de mausolée vivant, et que l’Eurafrique connaît dorénavant le froid et la glace. Le périple qui entraînera Maylis jusqu’au bout du monde l’entraînera également au-delà d’une position sans retour, où elle devra choisir entre une humanité en perdition et un nouvel horizon plus périlleux encore. Mais qu’a-t-elle concouru à amener sur Origine ?

    Christine Barsi :
    L’auteure est une scientifique et une artiste qui a fait des études en biologie et science de la nature et de la vie, cherchant à comprendre ce qui anime le genre humain. L’auteure travaille dans les ressources humaines, l’informatique et l’ingénierie, écrivant en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif cinq romans publiés à compte d’éditeur.


    Titre : SolAs
    Autrice : Christine Barsi
    Site de l'autrice : http://christinebarsi.com
    Page Facebook de l'autrice : https://www.facebook.com/ChristineBarsi.romanciere
    Editeur : 5 Sens Editions
    Nombre de pages :  536 pages

    Prix du livre papier : 23,80 € : https://catalogue.5senseditions.ch/fr/science-fictionfantasy/268-solas.html



    Interview de Christine Barsi

     

    Présentez-nous votre ouvrage...

    SolAs est un roman de science-fiction, mon cinquième roman publié par 5 Sens Éditions à ce jour.
    Une mission sur un astéroïde, porteur des précieux champs de plasma, amène une astrophysicienne à découvrir les particularités intrinsèques de l’essence plasmatique stellaire et à y appréhender les signes d’une humanité que personne ne soupçonne. Lorsque la relation singulière qui la lie à l’un des membres de son équipe s’engage dans une direction inattendue, elle devra assumer ses choix et oublier ce qu’elle est pour l’accueillir.
    C'est au cœur de l'astéroïde SolAs, ainsi que sur Origine, que se jouera le final alors que les grandes variations climatiques ont bouleversé l'équilibre des puissances en place et fait des terres canadaskiennes ainsi qu'étatsuniennes, une sorte de mausolée vivant, et que l'Eurafrique connaît dorénavant le froid et la glace.  Le périple qui entraînera Maylis jusqu'au bout du monde l'entraînera également au-delà d'une position sans retour, où elle devra choisir entre une humanité en perdition et un nouvel horizon plus périlleux encore. Mais qu'a-t-elle concouru à amener sur Origine ?

    Avez-vous un sujet de prédilection ?

    Sous couvert d’une passion qui va à l’encontre de toute éthique apparente, l’histoire traite des flux de conscience énergétique, de l’énergie pensante et de la création de la vie sous forme d’entités…  notamment dans le creuset d'un bâtiment d'astrophysique.
    Dans ce livre, ce qui m’a importé, c’est aborder des sujets d’actualités scientifiques et techniques tels l’astrophysique et l’énergie plasma, cette fameuse essence plasmatique, l’exobiologie, les astéroïdes et leur gestion, les entités aliens, les techniques de laser et de générateurs de particules, la génétique mais également l’extraction minière. Comme généralement chez moi, je confronte ces thèmes à la nuisance, cette fois, non plus des grands lobbies pharmaceutiques ou des laboratoires ayant pignon sur rue mais de celle de l’industrie minière et astéroïdique.

    Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

    L’amour franchit toutes les barrières, transcende les êtres au-delà de ce qu’ils peuvent appréhender.
    Les voies de la création sont infinies, tant dans le domaine des arts que dans celui des sciences et de la spiritualité. Dans leur plénitude, elles enfantent d’innombrables formes dont l’émergence amène autant d’êtres à notre image… ou pas.

    Pourriez-vous nous citer quelques passages de SolAs ?

    En voici un premier :
     « Le chant du Métal : « Le métal qui draine toute l’attention des grands lobbies n’incarne déjà  plus qu’un matériau sur le déclin. Il maintient son illusion tel un magicien ou un automate, mais à terme, sa source se tarit tandis que sa déchéance n’est plus qu’une notion de temps ultime. »
    … Khal Sihlen évaluait d’un air méfiant le métal qui se convulsait derrière la paroi de bioverre épais qui assurait leur sécurité. Sans qu’il comprenne comment c’était arrivé, ils avaient perdu le contrôle de ce secteur. À l’une des étapes du processus, mais laquelle ? Il pouvait voir le roboïde, en charge des opérations, figé le long de la citerne d’acier trempé, sa coque à l’épreuve des miasmes acides et des explosifs à forte charge avait été démantelée ; une lèpre inconnue le rongeait à un rythme déroutant. Près de lui, au sol, Warrhaen était tombé. Au travers de la visière du casque, il avait l’air mal en point et le métal paraissait attiré par son immobilité ; un métal si particulier. Depuis son axe d’observation, Khal jeta un coup d’œil derrière lui, au-delà du périmètre sécuritaire ; comme lui, les scientifiques ne comprenaient pas. Affolés, ils tentaient d’isoler la zone afin de la placer en quarantaine…

    En voici un second :
    … Si l’année de sa mise en orbite, l’ancrage satellitaire du corps spatial avait causé beaucoup de bruits et amené un développement accru de l’intérêt général pour tout ce qui touchait de près ou de loin à l’astrophysique et l’astronomie, les deux années suivantes avaient vu étouffer dans l’œuf les discours plus ou moins cohérents des experts. À croire que l’on voulait que les foules oublient l’évènement, pour mieux inciter le corps scientifique à œuvrer dans les coulisses, comme à son habitude. Aujourd’hui, alors que Maylis allait sur ses vingt-trois ans, la presse à sensation ne laissait filer que quelques bribes à intervalles irréguliers, alors même que PlasmAtal, l’une des plus grosses entreprises industrielles implantées en Eurafrique et en Ruschin, avait investi le corps stellaire et installé son site d’exploitation après en avoir obtenu la licence adéquate, auprès des autorités compétentes. Dans les revues scientifiques et dans les quelques rares articles qui abordaient le sujet de l’astéroïde et du type de production que l’on y effectuait, il était question d’un plasma métalloïdique aux propriétés fascinantes, mais les précisions s’arrêtaient là. Pourtant, la jeune femme devinait qu’il y avait davantage que ce que les infos distillaient par doses infinitésimales…

    À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

    Mon ouvrage s’adresse à tous ceux qui s’intéressent aux mystères occultes, aux problématiques actuelles de l’éthique de la manipulation du génome, de la préservation des ressources naturelles, à ceux qui aiment ce monde et ces composantes, les grandes forêts, tout en étant amateurs de belles lignes et de réflexions sur l’existence que je glisse régulièrement dans mes romans. Ce livre mêle de manière équilibrée la science, la technique, les conflits entre races et la passion irrépressible d’un être pour un autre. Il s’adresse aux amoureux de la science comme aux amoureux des belles histoires d’amour.

    Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

    En ce milieu d’année 2019, je suis sur la rédaction du tome 3 de Déviance, ma romance vampirique. Dans le même temps, j’attends les résultats de la soumission du tome 2. Je nourris également un autre gros projet de SF pesant plus de mille cinq cents pages qu’il va falloir retravailler et réécrire — un très long travail en perspective.
    Il va me falloir intensifier ma présence sur les salons du livre et cafés littéraires. En 2019, j’ai participé au salon du Livre et de la Bd sur Mennecy, organisé quelques séances de dédicaces au sein de mon centre commercial Auchan de Fontenay-sous-bois. Je cherche aussi à faire traduire l’un de mes livres, et j’aspire à ce que l’un de mes romans passe à la télé ou au ciné « Le grand cinéma » comme le clame Jacques Villeret dans « le Diner de Cons ». Toutes sortes d’idées me trottent dans la tête, et il faudra bien qu’elles trouvent un exutoire.

    Avez-vous le sentiment d’avoir progressé dans votre univers de romancière ?

    Eh bien oui ! Écrire ne suffit cependant pas, bien que je m’y adonne de manière de plus en plus intense au fil des années.
    Alors je me suis confrontée à l’univers réel afin de réaliser ma première vidéo de présentation de l’auteure ainsi que de ses œuvres ; Gérard Confino au moyen du média « Planète Gaïa TV » m’en a donné l’opportunité et je l’en remercie.
    De même, je sonde le Net à la recherche de groupes de science-fiction et de fantastique qui m’impliqueraient dans le domaine afin de me faire connaître et de connaître mieux les rouages de cet univers de la création et de l’édition. Dans ce cadre, j’ai intégré le cercle des passionnés de SF par le biais de leur réseau Facebook « Les Mercredis de la SF ». Ils m’ont ouvert d’autres horizons technologiques, à moi qui en suis fan. Ainsi la réalité augmentée, ainsi la Noosfère et le NooMuseum de Yann Minh, un vrai trésor de créativité dans lequel tout artiste aspire à s’immerger. Merci à toi Yann, pour ce précieux cadeau que tu nous fais.

    Un dernier mot pour les lecteurs ?

    J’aime écrire, une passion nécessaire pour un écrivain sans laquelle celui-ci n’irait pas au bout de son tout premier manuscrit. L’écriture se définit par la persévérance essentielle et la volonté tout aussi essentielle de parvenir à l’achèvement qui consacrera l’œuvre de l’artiste. L’existence d’un écrivain s’avère solitaire dans sa phase cruciale de l’écriture ; il lui faut l’affronter au quotidien ainsi qu’un ascète en quête de sagesse. Mais se rajoutant à ces performances, se tient celle d’amener à la vie ses personnages, de les faire évoluer au sein d’une histoire qui ne s’appréciera jamais que par la richesse du vécu de ces derniers.
    Il m’arrive souvent de les trouver exigeants alors qu’ils m’entraînent dans leurs tribulations dont j’ai le sentiment de ne rien maîtriser, en dehors d’une certaine architecture dans le cadre du scénario.
    Pour finir et comme chaque fois, je répèterais encore et encore la phrase que j’ai découverte il y a quelque temps, celle de George Bernard Shaw qui disait : « Vous voyez des choses et vous dites : « pourquoi ? » Mais moi je rêve de choses qui n’ont jamais existé, et je dis : « pourquoi pas ? » »

     

  • Présentation de l'éditeur :

    Deux adolescents soldats, Christian et Baudouin, tentent de survivre dans une Europe en proie au chaos.

    Christian et Baudouin ont quatorze ans. Mais ils ne vont pas à l’école. Ils ne jouent pas au foot avec leurs copains. Ils n’ont jamais vu de film au cinéma, jamais acheté un jeu vidéo. Dans une Europe en proie au chaos où les pays n’existent plus, les bandes militarisées dopées aux drogues high-tech, les milices des corporations et les débris d’armées sans nation enrôlent les enfants de gré ou de force.
    Christian et Baudouin sont soldats. Deux adolescents qui vont devoir se battre, une fois de plus... mais aussi se demander quelle cause ils veulent servir.
    Car dans le sud de la France, un État de loi, d’équité et de liberté tente de renaître dans les ruines. À Toulon, on essaie de démobiliser et de réinsérer les enfants combattants.
    Mais est-ce possible, quand une conflagration générale est sur le point d’embraser toute la région ?

    Entre fantastique et science-fiction, plongez-vous au coeur d'un roman à l'intrigue prenante dans lequel les enfants combattants sont appelés à défendre leur pays. A découvrir dès 16 ans !


    Titre : Les chasseurs noirs
    Auteur : Jean Bury
    Editeur : Otherlands
    Genre : Science-Fiction, Fantastique, post-apocalyptique

    Prix format numérique : 7,99 € : https://www.cultura.com/les-chasseurs-noirs-tea-9782797301416.html

     
    Extrait :

    L'orée du bois approchait rapidement. Le bruit des combats, lui, ne s'éloignait pas d'un iota. Comme si la distance ne pouvait pas atténuer le fracas des clameurs et des grenades – et les soudains silences qui aspiraient tout dans un vide où plus rien ne palpitait, pas même un bruissement de branches ou une fauvette indifférente, avant de se dilater comme une explosion dans un nouveau chaos.
    Le groupe de combat courait. La lisière était presque à portée.
    Derrière eux, sur la ligne principale des combats, les obus s'espaçaient. Baudouin savait ce que ça signifiait : leurs munitions lourdes s'épuisaient avant que les compagnies n'aient réussi leur redéploiement. Les derniers groupes en déplacement étaient de plus en plus vulnérables. Pas eux quatre, bien sûr. C'était pour eux que la Section de Flanc faisait diversion, au risque de se faire étriller. Eux quatre, ils n'étaient censés tomber sur personne.


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  • Présentation de l'éditeur :

    Sur la planète Ankhonem, Valreal, la cité de chair, connaît la guerre civile entre Humains et Hôtes.
    C’est dans cette ambiance délétère que Wellis, l’Hybride, né de la Cité-Mère et d’une humaine, tente de survivre en luttant dans des combats clandestins. Sa vie bascule le jour où il découvre qu’il est prêt pour l’hospitalité, équivalent de la grossesse chez les Hôtes, et événement rare pour un Hybride. Succombant à ce besoin naturel et impérieux, Wellis se met en quête d’un bébé humain à accueillir en lui. Mais sa condition inhabituelle semble focaliser l’attention des différentes factions qui ambitionnent de contrôler la ville. Quel rôle a-t-il à jouer ? Et surtout quelle est la nature de cet enfant qui connaîtra, grâce à Wellis, une seconde naissance ?  Le destin de Valreal serait-il en jeu ?

    Titre : Valreal
    Auteur : Nicolas Lefebvre
    Illustration de couverture : Louis-Clément :
    https://louisclementfomenko.fr/

    Editeur : Pulp Factory
    Genre : Science-fiction

    Prix format papier : 14,00 € : http://pulp-factory.ovh/catalog/valreal/
     

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