Véro-Lyse

Tu veux dire deux autres nouvelles de deux autres auteurs ? Ça peut être un format intéressant. Je souhaite bonne chance à ton texte et à cette collection !

Jeb, oui c'est ça le principe : trois auteurs pour chacun une nouvelle. Le livre fera une centaine de pages et le prix sera de moins de 8 euros me semble-t-il. C'est un format de poche je crois. Pas vendu sur Amazon, juste sur le site de l'éditeur et en salons.

Kaliom, oui. D'ailleurs j'ai lu le texte qu'il a écrit pour Malédiction et je me suis bidonnée tout du long : rigolo et l'histoire est intéressante.

J'ai enfin pu commencer ta nouvelle histoire ! Le temps file... Je n'en suis qu'au début, mais je me rends compte combien tu as eu raison d'insister avec tes personnages, d'un livre à l'autre : quelques mois passent, on ouvre le nouveau volume, et on retrouve ce et ceux que l'on avait quittés la dernière fois comme on prend plaisir à recevoir le coup de fil d'un vieux copain...

L'autre chose qui m'impressionne, c'est la véracité de tes décors. Après le collège, l'hôpital, et à chaque fois on s'y croirait, sans pourtant que tu te sentes obligée à des descriptions, à des petits détails qui font mouche, à des étalages de connaissances : c'est naturel, comme on raconte sans y penser son environnement de tous les jours.

Pour l'instant, je n'en suis qu'au début. Suite de mes impressions, en fonction du boulot à la boîte et des impératifs, dans les jours ou les semaines qui viennent.

Merci Jeb !
Je ne suis pas du tout axée sur les descriptions précises, c'est vrai, car j'ai toujours l'impression que ça fait mastoc quand j'essaye et de plus, je les trouve inutiles dans mes textes (<= pour ne pas dire mal écrites^^). Alors tant mieux si le peu que je mets suffit.
Cette remarque me touche, surtout venant d'un auteur qui fait de splendides descriptions !

Je travaille dans un environnement scolaire et j'ai un beau parcours de "client fidèle" à l'hôpital (mais ils ont refusé de me faire une carte à tarif réduit pour la télé ou la machine à café ) , cela doit probablement transparaître dans ce que j'écris.
J'espère que la suite te plaira

Je regrette que ta connaissance de l'hôpital soit nourrie d'expériences personnelles (l'école, c'est quand même mieux), mais il est indubitable que ta manière de les raconter ancre tes histoires dans le réel, et ça ne donne que plus de poids à l'irruption du fantastique.

Il arrive qu'on reprenne la lecture après une nuit de migraine épuisante, et on n'a pas toute sa tête. Au lieu de lire : "Ne bouge pas, je vais te perfuser", on lit : "ne bouge pas, je vais te parfumer". L'intention est charmante, mais pas forcément prioritaire.

Sinon, je continue à prendre un grand plaisir à ma lecture. L'intrigue, dans la continuité de la précédente, n'a pourtant rien à voir, les dialogues sont vifs et réalistes, le docteur se laisse convaincre par le récit fantastique à la bonne vitesse (ce qui est difficile à réaliser ; c'est généralement trop court, parce que le surnaturel est accepté trop facilement, ou trop long, parce que l'incrédulité dure trop longtemps), le sauvetage est très crédible, très humain aussi (la foule, Maurice), et le chien de Mme Chopin aura le droit à un os à moelle et à la fantaisie-impromptue !

on lit : "ne bouge pas, je vais te parfumer". L'intention est charmante, mais pas forcément prioritaire.

Je compatis pour les migraines. ça finit par être très handicapant au quotidien.

Et pour le reste de ton avis, merci

Je suis désolé de le lire si lentement, mais les moindres minutes me sont comptées ces jours-ci...