[feuilleton] Code rouge

J'ai volé quelques minutes de boulot pour lire enfin le dernier épisode. Accélération de l'histoire ! J'apprécie que la mise en place précautionneuse des chapitres précédents rende la chose crédible, pas trop précipitée, survenant au bon moment. Un choc, mais finalement annoncé par tout ce qui précède. J'apprécie aussi que tu aies nuancé Boulanger, qui aurait pu sinon virer à la caricature de vieille baderne, alors que rien ne m'a paru cliché de blockbuster jusqu'à présent. Pour l'instant, aucune critique ne me vient à l'esprit. Ça marche ! Soit c'est très bien pensé en amont, soit tu as un don naturel de feuilletoniste !

A nouveau merci, Jeb, ça me touche beaucoup ce que tu écris !

Comme je l'ai dit en amont, les 2/3 étaient écrits quand j'ai commencé la publi....je voulais être sûr d'arriver au bout, d'autant que je n'écris jamais dans l'ordre, ça ne me dérange pas d'écrire au milieu puis à la fin, revenir au début etc...mais du coup, il faut être sûr de ne pas en laisser en route !

kith écrit: d'autant que je n'écris jamais dans l'ordre

Ah ah ! Moi qui me croyais le seul, je suis ravi de voir qu'il n'en est rien !

Sympa, le lien de fin du dernier épisode. C'est une bonne idée d'utiliser ainsi les capacités interactives d'Internet.

Calling all stations pourrait être la BO de Code rouge tant je l'ai écouté pendant l'écriture...c'était l'occasion de la passer

J'ai bien aimé la sortie du bunker ! Ça m'a rappelé, dans l'esprit, le Vivre dans la peur de Kurosawa. Peut-être un peu court, pour le coup, mais c'est la loi du feuilleton.

Merci de ton message, Jeb !
Je suis d'accord, ce sera un élément à développer dans la version finale, je pense.

Nous avons dépassé la moitié du feuilleton, merci à tous ceux qui suivent

Me suis encore fait dépasser. Bientôt les vacances, je disposerai de plus de temps pour m'y replonger.

Pas de souci, je suis déjà super content que tu aies envie de continuer ta lecture :-)

ouch, j'ai rattrapé mon retard.

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ATTENTION SPOIL !

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Bon, déjà, le gros point positif pour moi c'est le fait que la majeure partie des épisodes concerne l'équipe au sol. Même si certains épisodes sont stressants, je ne ressens donc pas cette gêne due aux endroits confinés ( les ressentis sont parfois oppressants quand on se retrouve dans une navette... quand je lis je me représente beaucoup les différents lieux, un vieux côté claustro chez moi ). Et chance pour moi, tu as fait vite pour le bunker
J'apprécie le contraste des personnalités entre Alech et Eric et cette tension entre eux malgré toute cette distance qui les sépare. Ils s'apprécient néanmoins pour leurs capacités respectives et cela les rend très réels en fait. Il m'arrive de ne pas apprécier un collègue, mais de reconnaître que côté boulot, il assure. L'histoire d'amour apporte aussi à cette histoire. Les personnages pourraient nous paraître étrangers à notre monde (ce sont quand même la crème des scientifiques, d'habiles politiques ou militaires), et pourtant on les sent aussi vulnérable que nous. J'ai particulièrement apprécié l'intervention de la femme de Boulanger. Tout, oui tout paraît crédible. La bêtise humaine y figure en bonne place : la course pour tout et à n'importe quel prix, presque un slogan de nos jours.
J'avoue de plus en plus trouver un véritable intérêt pour la sf, et je remarque que tu as quelques années lumières de vol concernant les voyages spaciaux (vocabulaire, techniques, matériaux, navettes...).
Une histoire très intéressante et addictive : qui correspond tout à fait au format d'épisodes que tu as choisis.
Bon, et bien maintenant... j'attends la suite Ah, et je suis contente que l'histoire ne se soit pas terminée à l'arrivée sur Mars, ça aurait été frustrant.
Bravo !