Mots & Légendes est à la fois une maison d'édition et un site traitant de l'actualité de l'imaginaire, de préférence des petites structures. N'hésitez pas à venir participer au forum ou découvrir nos livres numériques.
Un peu long, j'avoue avoir zappé quelques paragraphes, dans le genre je préfère ce lien : www.revue-solaris.com/special/cnpedh.htm
. C'est plus sympa à lire et ça donne la vision des choses du point de vue d'un comité de lecture.
Ce n'est pas vraiment un conseil d'écriture, mais j'ai trouvé que l'article était intéressant pour voir la façon dont on pouvait s'organiser pour aborder un récit assez important :
Si vous voulez rater complètement vos méchants en en faisant des pelotes de clichés, parce que votre but dans la vie est de torcher du nanar sur cahier des charges en vous aidant d'un plan préformaté sur Power Point, Cocyclics vous dit comment faire. Merci, Cocyclics !
Je plaisante, mais je suis un peu inquiet, aussi. J'espère qu'il n'y a pas trop d'auteurs qui prennent au sérieux ces tissus d'absurdités et qui préfèrent apprendre leur métier en lisant Conrad ou Julien Green... sinon, dans une génération, la littérature de genre sera aussi bas du front que la littérature blanche...
C'est un peu comme toutes les recettes pour écrire, j'ai parfois l'impression qu'on y lit des choses évidentes et je reste persuadé que ce n'est pas suffisant pour arriver à faire un bon auteur...
Un peu dans le genre, j'ai mieux apprécié cette interview de Paul Dini, ce n'est pas vraiment des conseils pour l'écriture, mais il parle des méchants dans les histoires :
En effet, l'idée de prendre quelque chose d'existant et d'observable et de voir comment ça peut déraper est déjà bien plus intéressante, même si ça n'épuise pas le sujet.
C'est un vaste sujet celui des méchants, il y a tant à dire et à faire avec. Perso, j'aime bien le méchant fourbe et traitre, celui que tu vois pas venir... Ou alors faut que le méchant ait vraiment l'air d'assumer son rôle, contrairement à l'avis de Cocyclics, je ne suis pas persuadé que "Les « grands méchants » pensent que ce sont eux, les héros". Il y a un moment où un personnage doit bien se rendre compte que ses actions ont des portées négatives, on dit pas "massacrez-les tous" sans comprendre qu'on franchit un certain cap dans son humanité...
Nous utilisons des cookies sur notre site Web. Certains d'entre eux sont indispensables au fonctionnement du site, tandis que d'autres nous aident à améliorer ce site et l'expérience utilisateur (cookies de suivi). Vous pouvez décider vous-même si vous souhaitez autoriser ou non les cookies. Veuillez noter que si vous les rejetez, vous ne pourrez peut-être pas utiliser toutes les fonctionnalités du site.