Jeb

En moyenne, et en ne comptant pas, bien sûr, le machin de fausse Haute Littérature que j'ai torché en 3 semaines et que je ne considère pas comme faisant partie de mon catalogue, mes romans font 100 000 mots (environ 600 000 caractères). Mais ça varie beaucoup, bien sûr. Ça va de Faon (170 000 caractères) à TR (1,25 million de caractères).

La moyenne de mes nouvelles, ça doit être autour de 35 000 caractères, avec des plus courtes (18 000 caractères pour Erreur système) et des plus longues (environ 100 000 pour Et la mort perdra tout empire et pour Les gardiens de nos frères).

Comment ai-je pu écrire ce machin de plus de 200 000 mots alors qu'aujourd'hui j'ai du mal à dépasser la page 2 ?

Ça y est, ma migraine commence à passer ! À une heure de la fin du boulot, ça fait des jours "fériés" compliqués...

Pour finir sur une meilleure note, un illustrateur que j'ai découvert par hasard sur Internet, un certain Efflam Mercier. Tout ne me parle pas dans ses dessins, mais parfois, si. J'ai un coup de foudre pour ce malheureux chevalier, par exemple. J'écrirais bien son histoire...

Très belle illustration, en effet.

Oui, superbe.

Je suis dans une phase que j'aime bien, en ce moment. Comme je suis rigoureusement incapable d'écrire quoi que ce soit (et c'est de plus en plus dur de mois en mois depuis deux ans maintenant, au point que je me demande si je terminerai un jour de nouveau une nouvelle*), je prends des tas de petites notes bien propres et bien rangées sur des carnets, pour préparer des romans dont je sais pertinemment que je ne les écrirai jamais. C'est ce que je préfère dans l'écriture.

* Oui, sauf bien sûr mon roman de Haute Littérature, mais ce n'était pas de l'écriture, c'était un jeu de rôle grandeur nature.

Je pense que quelque part aller en salon, voir les collègues, discuter avec ses lecteurs, ça aide à avancer. Donc ça peut te permettre d'aller de l'avant.