Nico

Non j'avais déjà plusieurs chapitres (d'Agonie sous ciel vert qui porte un autre nom mais que je n'aime pas) de rédiger je viens seulement de les corriger et de les valider pour le moment. En fait j'ai 10 chapitres d'entamés mais qui s'épuisent à partir du 6ème.
Sinon j'ai fini de corriger Vent glacial que je viens de transmettre au Bélial (oui, je tente le tout pour le tout même si je n'y crois pas un instant)

Je viens de valider le troisième chapitre: 17497 mots. Ca avance bien mais je ferai moins le main dans quelques chapitres.

Quand on a déjà 20 000 mots sous le coude, on n'a plus l'impression de partir d'une feuille blanche, c'est encourageant. Bon courage pour la suite !

Je traduis matin, midi et soir, mais dans quelques semaines je suis de retour parmi vous.

C'est vrai que c'est à présent une bonne base de travail. Étrangement je fais deux constatations de mon brouillon: la première, je trouve que l'originalité et la cohérence sont au rendez-vous, la deuxième est qu'il va falloir vraiment que je bosse la forme au second jet! Cependant c'est marrant de se replonger dans un univers entamé il y a déjà quelques années, j'ai l'impression d'être en territoire connu et j'aime assez l'ambiance (parfois glauque), donc je vais continuer d'y traîner pour voir ce que je rencontre sur ma route.
Bon courage pour le taf. Je compatis et je croise les doigts de mon côté pour que sur un mal-entendu j'arrive à valider mon semestre sans aller au rattrapage: j'ai tellement pas envie de m'y replonger maintenant que je suis reparti dans l'écriture et sachant que je bosse cet été.

Oui, c'est marrant comme sensation d'être à présent relativement extérieur à son propre texte. On est plus objectif aussi du coup. Je côté pervers de la chose est le fait que le "ciment" à pris et qu'il est plus difficile de redéstructurer les choses pour y insérer des nouvelles ou pour la correction. Mais bon c'est chouette toute de même de se promener dans un univers qui existe à présent d'une manière autonome.

Une dernière relecture et je validerais le premier jet du quatrième chapitre, soit environ 22 000 mots. Ca commence à devenir sympa.