Depuis toujours, Geoffrey a été tiraillé entre son côté scientifique et littéraire. Le di­lemme a été tranché : tandis qu’il use des sciences dans son métier, il garde l’écriture comme passion, à travers laquelle s’expriment ses visions de mondes étranges et d’aventures fantastiques. Son attirance pour les intrigues historiques et les légendes des temps anciens l’a naturellement poussé à rédiger des nouvelles épiques où se mêlent réel et imaginaire.
Il n’en reste pas moins ouvert aux autres genres d’écriture, que ce soient de la littéra­ture blanche ou de la science fiction, reflets de ses goûts éclectiques.

Son portrait chinois :

Un arbre : un séquoia géant
Un lieu : la bibliothèque secrète du Nom de la Rose
Un moment : n’importe quand, sauf le matin au réveil
Une personne : un mousquetaire du roi
Un animal : un renard
Un élément : de l’hélium, pour m’envoler sans risque (à l’inverse de l’hydrogène qui explose)
Les yeux : d’un marron des plus banals
Un doigt : l’index, pour que tout le monde s’intéresse à moi au lieu de regarder ce que je montre
Une couleur : la même que celle de ma voiture après être passée au lavage
Une musique : un Rock’n Roll britannique
Une matière : du chocolat
Un style : la peinture impressionniste
Un habit : un costume de gentleman cambrioleur
Une maison : un vaste manoir perdu dans les bois
Un magasin : une librairie
Un prof : d’histoire-géographie
Une ville : une vielle ville médiévale
Un pays : l’Europe unie
Un océan : la mer de la Tranquillité sur la Lune
Une pierre précieuse : le Youkounkoun, le diamant que même un Corniaud peut trouver
Une saison : l’été indien
Un bijou : le collier au cou de ma femme
Un objet : une sonde interplanétaire