lol c'est bien le coeur des hommes, même le 2 ! léger, en tous les cas. Pour ma part ça dépend quels films. les daubes où c'est juste violent (horreur, notamment) j'en regarde jamais. Mais les films d'action à "fond", j'aime bien. et en plus comme j'aime bien les belles voitures et les bécanes, les films genre fast & furious j'adore (ok je vais me cacher).
Pour ma part "carpe diem", j'essaie. C'est dur parfois. c'est pas tout à fait de ça que je parlais dans mon post initial, mais c'est pas grave. Et pour moi, les choses inconscientes devenues conscientes ont joué un énorme rôle dans certaines guérisons physiques (hernie discale avec sciatique à la clé, notamment). Je ne suis pas d'accord en disant que l'oubli est bénéfique. il protège à un moment où on n'est pas assez fort pour encaisser la souffrance, mais ça reste, la souffrance et les émotions associées restent, enkystées. (là il faut lire "le corps ne ment jamais" d'Alice Miller).
Cela joue également un grand rôle dans l'immunité de tous les jours, et également dans la compréhension des maladies quand on tombe malade. Enfin je sais que les émotions jamais sorties (ou réprimées dans le présent) peuvent provoquer pas mal de symptomes.
Ma grippe carabinée de 3 semaines dont 2 avec fièvre (et purée, ce que ça peut être pénible quand on doit tout continuer comme si on était en pleine forme...) cette année est liée à un stress cumulé énorme que j'ai pas eu la présence d'esprit de sortir à temps !
D'ailleurs ça m'a réveillé à ce niveau-là, arf ! On a vite fait d'oublier ce qu'on a appris, hélas.
Après tu dis les interrogations sont les mêmes pour tout le monde. Mais je n'en ai pas l'impression. il y a des gens (beaucoup) qui semblent ne jamais douter, jamais se poser des questions. (d'ailleurs parfois je les envie).
Et je ne sais pas si le bonheur s'apprend. Parfois je me dis qu'il se vit quand il arrive. c'est pas voulu, c'est pas provoqué. L'optimisme c'est sans doute un trait de caractère. J'ai un doute sur le fait qu'on puisse l'acquérir.
D'autant que quand j'observe le monde "en général", je n'y vois pas grand chose qui pousse à l'optimisme, hélas. Cependant, je n'arrive pas non plus à être totalement pessimiste. à condition de changer de point de vue et de ne plus regarder "en général", mais d'observer en particulier...
bon sang que c'est difficile de le décrire (j'vais un peu moins taper sur Coelho moi...
! mdrrrrr !).