Je dois être fatigué, je ne suis pas tout à fait sûr de te comprendre. Tu veux dire que tu as commencé
Mauvaise tête, que ça t'a plu, et que ça t'a inspiré le début de quelque chose ?
J'ai bien aimé
Mauvaise tête, moi aussi, mais j'ai préféré ton histoire dans la thématique "post-humain" - même s'il est toujours un peu idiot de comparer deux auteurs dont les styles et la manière d'aborder le sujet sont très différents. Disons plutôt que les deux histoires se mettent en valeur en proposant des approches complémentaires. On aimerait voir toute une anthologie de ce calibre !
Sinon, mes résolutions n'auront pas duré longtemps, puisque en plein milieu d'un énième reboot de modem, les idées pour un grand roman de SF ont commencé à venir. Comme toujours, il s'agit de trucs qui traînent au fond de sa conscience et qui n'attendent que l'occasion de se solidifier. J'ai encore beaucoup à réfléchir, ce ne sont que des idées en vrac, mais j'ai ressorti mon petit Parker Sonnet Cascade et j'ai commencé à prendre des notes. Et je ne sais pas pour vous, mais plus je prends des notes, plus des idées me viennent... Quelque chose prend tournure, je crois...
En revanche j'ai déjà un blocage en ce qui concerne les personnages. D'un certain point de vue, je n'ai pas envie de m'encombrer d'un ado cette fois-ci, d'autant que ça peut finir par lasser le lecteur autant que moi, de l'autre il est tentant de poursuivre ce "thème et variations", cette "marotte" que je travaillais à l'instinct et que mes conversations avec toi, Nicolas, m'ont permis de théoriser... Va falloir que je réfléchisse. Parce que bien sûr, il n'y a pas que le décor et les thématiques. Les personnages influent aussi beaucoup sur l'atmosphère comme sur l'intrigue. D'autant que cette fois-ci, j'ai une idée qui permettrait d'inverser le thème en question et d'en faire quelque chose d'encore différent.
Au passage, je ris tout seul à l'avance de ma bonne blague dans mon petit coin, parce que dans le petit post-apo sans prétention qui paraîtra un de ces jours chez Rroyzz Editions,
Les dieux sans visage, elle y est, ma marotte, mais sous un déguisement bien barré.
Enfin, on aura le temps d'en reparler !