Mots & Légendes est à la fois une maison d'édition et un site traitant de l'actualité de l'imaginaire, de préférence des petites structures. N'hésitez pas à venir participer au forum ou découvrir nos livres numériques.
Fields of the Nephilim est déjà pas mal toured au départ, mais avec Psychonaut, ils ont battu des records.
Mais Marillion, il y a des mélodies très sympa, je redécouvre avec plaisir.
Def Leppard, pareil, ça ne nous rajeunit pas.
Bon, alors Floor Jansen (Nightwish) et Simone Simons (Epica) séparément, c'est déjà pas humain, mais alors les deux ensemble accompagnées à l'orchestre symphonique et choeurs...
J'aime beaucoup la douceur de cette plage finale, et surtout la finesse des accords derrière la discrète reprise du thème en 2:45, avant qu'il ne reprenne tout à la fin dans sa sonorité électronique d'origine sur un bel accord parfait majeur.
Pour accompagner les nouvelles bretonnes du Captain, de la mer, des embruns, des ressacs, mais aussi des matins calmes sous le chant des mouettes par un des innombrables grands petits maîtres bretons du début du siècle. Louis Aubert, au passage, a créé quand il était enfant le Requiem de Fauré (garçon soprano solo du Pie Jesu) et, adulte, au piano, les Valses nobles et sentimentales de Ravel !
Je lis donc en ce moment un livre avec un jeune génie de 12 ans. Évidemment, ça n'existe pas, les génies de 12 ans. Qui a créé quelque chose dans l'enfance ou l'adolescence avant de laisser un nom dans l'histoire ? Braille a inventé à 15 ans son système de lecture pour aveugles, Pascal a donné un nom à un théorème à 16 ans avant d'inventer la calculatrice à 19, et il y a peut-être en Indonésie ou en Thaïlande un jeune génie dont personne n'a entendu parler de ce côté-ci du globe, et c'est absolument tout, dans toute l'histoire de l'humanité.
Enfin, tout, sauf Mozart, bien sûr. Qui dirigeait ses œuvres à 12 ans.