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Kaliom Ludo écrit: t'avais eu un petit échantillonnage de ce qu'un éditeur peut devoir gérer avec CE.
Un tout petit échantillonnage, comparé à ce que vous vivez comme éditeur, mais c'était formateur !
Kaliom Ludo écrit: Au final, faut se focaliser sur le positif et ne pas trop s'attarder sur le négatif, sinon on avancerait plus.
Absolument, surtout quand le positif est vraiment positif, et c'est mon cas !
Kaliom Ludo écrit: Je m'y retrouve aussi, avec cette envie de souvent travailler avec les mêmes auteurs !
Envie que tu partages avec Otherlands et que je comprends très bien. C'est, de surcroît, extrêmement agréable pour les auteurs. On a l'impression d'un accompagnement de long terme, on a le sentiment de discuter pour construire quelque chose en commun.
Même si je n'ai pas du tout le même recul que toi sur le métier d'écrivain Jeb, je suis d'accord.On a l'impression de faire partie d'une équipe et de construire ensemble. Puis on est plus à l'aise pour venir parler d'un nouveau projet si on sait que l'éditeur aime mettre en place de nouveaux projets avec les auteurs de son catalogue.
Les résultats du prix Alain le Bussy sont tombés. C'est rafraîchissant, les prix remis à des nouvelles inédites dont les auteurs ne sont pas connus du jury : des tas de noms nouveaux !
Je ne suis donc que dans les mentions, mais en la compagnie toujours flatteuse d'Anthony !
PS : J'y pense, Khel, elle est nulle, ma nouvelle. Je t'interdis de la lire quand le cahier de Géante Rouge sortira !
Tu es prévenu, tu ne pourras t'en prendre qu'à toi !
Moi, je lirai la tienne, en revanche !
Edit : je sais que ce que j'écris ressemble parfois à de la fausse modestie, mais je suis sincère. Quand je suis content d'une histoire, tout en ayant conscience que je ne suis pas Conrad ni même Stefan Wul, je le dis : je suis fier, dans la limite de ce que je suis capable de faire, de Les Chasseurs noirs ou de Un temps pour naître et un temps pour mourir et je fonde aussi des espoirs sur mes trois romans à paraître : Kraken Krak chez Pulp Factory, Terre des loups chez Otherlands et Téra-République ici-même. Mais je pense honnêtement que 80% de ce que j'écris est faiblard, et c'est particulièrement le cas de cette nouvelle, qui est une catastrophe.
À l'aide, les scientifiques ! Combien de temps pour qu'un corps tombe de 850 mètres, sur Terre, au niveau de la mer (je me contenterai d'une approximation, je vous épargne le taux de frottement en fonction de la pilosité) ? J'ai trouvé huit millions de siècles, ça ne doit pas être ça.
En récompense de votre aide, je promets de ne pas vous "spoiler" la fin de L’Iliade.
Merci ! Je suis tombé sur le même résultat : j'ai bien conscience qu'il y a des tas de paramètres à prendre en compte qui compliquent un peu le calcul, mais je voulais un ordre d'idée. Je ne suis pas équipé pour la hard SF (n'est pas Anthony qui veut).
Il faut que ce soit long, cette chute. Et ce n'est pas pour tomber des airs mais d'une tour. Pour le coup, on n'est pas dans la SF :
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