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Bon ben ça y est, j'ai mon histoire complète ! Ça s'appelle De la poussière, des cendres et rien, c'est de la SF pure et dure et ça devrait tenir dans la limite de taille tout en répondant au thème (le destin implacable qui pèse sur un être dès sa naissance parce qu'il a été choisi pour ça, ça compte comme une malédiction, non ?)
Y a plus qu'à l'écrire. Et là, j'ai pas du tout envie !!!
J'ai oublié de te dire que pour l'AT c'était grâce à ce que tu m'as dit:
si on a le récit d'un personnage qui ne supporte pas une technologie, qui se sent oppressé et poursuivie par elle, on peut rentrer dans le cadre d'une malédiction.
que l'histoire m'est venue. J'espère réussir à la faire aboutir et arriver à quelque chose de bien.
Petite question technique idiote : un petit peu par volonté anti-corpo, un peu parce que pour des raisons professionnelles mes MS Office sont blindés d'options spécifiques auxquelles j'ai intérêt à ne pas toucher, j'essaie de me mettre sérieusement sur LibreOffice. Ça fait des .odt, bien que ce ne soit pas OpenOffice. A priori, c'est la même chose, ça te va comme ça ?
Mais bon, si j'avais de l'argent à jeter par la fenêtre, je ferais une thérapie pour savoir pourquoi on arrive à se lancer sans filet dans un roman de 210 000 mots et pourquoi, aussitôt après, on trouve insurmontable l'écriture d'une nouvelle de 30 000 signes...
Jeb écrit: Bon ben ça y est, j'ai mon histoire complète ! Ça s'appelle De la poussière, des cendres et rien, c'est de la SF pure et dure et ça devrait tenir dans la limite de taille tout en répondant au thème (le destin implacable qui pèse sur un être dès sa naissance parce qu'il a été choisi pour ça, ça compte comme une malédiction, non ?)
Y a plus qu'à l'écrire. Et là, j'ai pas du tout envie !!!
Je suis content que tu aies l'histoire complète en tête, le titre donne déjà envie de lire ton texte. J'espère que tu vas arriver à reprendre tes habitudes d'écriture et laisser cette mauvaise période derrière toi.
Nicolas Villain écrit: J'ai oublié de te dire que pour l'AT c'était grâce à ce que tu m'as dit:
si on a le récit d'un personnage qui ne supporte pas une technologie, qui se sent oppressé et poursuivie par elle, on peut rentrer dans le cadre d'une malédiction.
que l'histoire m'est venue. J'espère réussir à la faire aboutir et arriver à quelque chose de bien.
Je suis content si mon idée a su te parler un petit peu, le thème me semblait en tout cas proche des sujets de tes textes comme le Draigle et Supersprint. Plein de courage pour mener à terme ton histoire !
Jeb écrit: Petite question technique idiote : un petit peu par volonté anti-corpo, un peu parce que pour des raisons professionnelles mes MS Office sont blindés d'options spécifiques auxquelles j'ai intérêt à ne pas toucher, j'essaie de me mettre sérieusement sur LibreOffice. Ça fait des .odt, bien que ce ne soit pas OpenOffice. A priori, c'est la même chose, ça te va comme ça ?
Mais bon, si j'avais de l'argent à jeter par la fenêtre, je ferais une thérapie pour savoir pourquoi on arrive à se lancer sans filet dans un roman de 210 000 mots et pourquoi, aussitôt après, on trouve insurmontable l'écriture d'une nouvelle de 30 000 signes...
Pour ce que j'en sais LibreOffice et Open Office ont la même base donc normalement ça devrait être compatible. Dans le pire des cas, tu mets le texte en .rtf et cela doit être compatible avec toutes formes de traitement de textes. Il me semble juste que c'est plus limité pour la mise en forme, j'ai un doute.
Dans tous les cas on trouvera toujours un format pour le convertir
J'ai parfois l'impression que c'est plus facile de créer au début, dès qu'on prend un peu d'expérience, qu'on devient critique sur ce qu'on fait, ça pose des barrières, des valeurs de jugement sur ses créations et ce n'est pas toujours simple de prendre de la distance pour se concentrer sur le plaisir d'écrire.
J'espère que cette nouvelle va te faire passer ce mauvais cap
Kaliom L. écrit: J'ai parfois l'impression que c'est plus facile de créer au début, dès qu'on prend un peu d'expérience, qu'on devient critique sur ce qu'on fait, ça pose des barrières, des valeurs de jugement sur ses créations et ce n'est pas toujours simple de prendre de la distance pour se concentrer sur le plaisir d'écrire.
Je crois que c'est très bien vu. La nouvelle que j'ai en tête est beaucoup plus complexe de structure et de style que ce que je faisais au début. Je n'écrirais plus aujourd'hui une petite nouvelle à twist de deux pages pour le seul plaisir d'un effet choc à la fin. Alors c'est décourageant, mais d'un autre côté c'est aussi ce qui peut stimuler à reprendre : faire un truc qu'on n'a pas encore fait, ou en tout cas pas comme ça.
Pour le format, j'arriverai bien à faire un truc qui marche. Merci !
J'ai relayé l'appel à textes à mon ami Matthieu, qui n'a jamais terminé un texte mais dont les extraits (les 100 000 faux départs, comme les appelait Fitzgerald) qu'il m'avait montrés étaient très convaincants. Du style, de l'ironie, un sens inné de la cadence et du rythme (c'est, il faut dire, un excellent traducteur, et ça forme un tant soit peu le sens littéraire). Or, l'ami Matthieu a le plan d'une nouvelle "malédiction" kingienne en diable qui pourrait donner quelque chose de démoniaque. Reste à la convaincre d'aller au bout au lieu de peaufiner son classement dans League of Legends...
Bon, finalement, examen fait, si j'arrive péniblement au bout, ma proposition pour cet AT ne sera pas si complexe ni avant-gardiste que ça, mais il y aura tout de même un peu d'expérimentation stylistique et formelle.
Mais bon, pour l'instant, je parle un peu dans le vide...
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