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Pour ma part, je trouve que Legio Quarta Scytica, c'est relativement court et ça sonne bien à l'oreille. Pince-Mi et Pince-Moi sont au Pôle Nord est effectivement plus exotique, mais sans avoir lu la nouvelle, je dirais que ça éveille ma curiosité. Tous les robots s'appellent Alex, ayant eu la chance de lire le texte, je trouve que le titre colle bien à l'histoire. Je ne peux pas en dire plus, mais je ne sais pas comment il serait possible de le remplacer. C'est vrai, aussi, que je me suis habitué à parler du texte comme ça... Les petits chanteurs à la croix de bois contre le kouign-amann de l'empereur galactique, ça a l'air de promettre un gros délire
Pour les titres, en général, sauf si le texte en dit trop sur le reste de la nouvelle, sinon j'ai tendance à suivre l'auteur. Le seul bémol que j'y mettrai peut-être, c'est dans le cas d'un titre de roman, car plus le titre est long, plus je trouve que c'est difficile de placer le titre, le nom de l'auteur et de montrer aussi l'illustration. Dans ces cas-là, c'est un casse-tête
Merci de tes encouragements, je me sens moins seul ! Il est vrai que c'est dur pour un auteur de juger son titre, vu qu'il a tellement l'habitude de parler de son histoire sous son titre "temporaire" qu'il finit par le trouver tout à fait normal. En tout cas c'est ma petite expérience personnelle.
Mais je n'avais jamais vu le problème sous l'angle de la mise en page. Une fois de plus, le forum m'ouvre des pistes de réflexion... Cool !
Reste mon roman en cours, mais comme, d'après mon plan prévisionnel, il devrait faire entre 700 et 800 pages (en prenant pour base le format de l'epub de mon précédent roman chez House), ça me laisse le temps de penser au titre.
Bon, allez, pardon pour cette petite crise de narcissisme (mes petites histoires d'auteur amateur ont un intérêt minime par rapport au danger nucléaire ou à la menace zombie), mais j'ai enfin, pour la première fois depuis dix mois, un peu de temps devant moi et j'ai hâte de me remettre à écrire sérieusement ! Je suis donc tout excité !
Je trouve le sujet intéressant, tu as bien fait de l'aborder ici, je suis certain que cela concerne beaucoup d'auteurs. Puis si ça te donne un autre angle de vue sur le sujet, c'est ça de pris aussi
Je crois aussi que le petit nom qu'on donne à son texte est pas facile à changer. D'une façon générale, sauf peut-être dans le cas d'une nouvelle à chute où, dès le titre, on prépare le lecteur, je trouve que c'est pas simple en tant qu'auteur de trouver le bon titre. Même si y a des fois, y en a qui s'impose d'eux même.
Courage pour finir ton roman et j'espère que tu vas pouvoir mettre à profit l'envie d'écrire. C'est une envie contagieuse !
Je peux me tromper, mais il me semble détecter une pointe de regret dans ta phrase. Tu as envie d'écrire en ce moment ? Le problème étant j'imagine qu'avec le bouclage de M&L, sans compter tes autres activités, ça ne doit pas être facile... Je croise les doigts pour toi !
Oui, un peu de regret, car j'ai envie d'écrire ou retravailler mes anciens textes. Pas mal de sujets qui m'inspirent aussi, généralement, dans ces cas là, je lance un AT, mais j'essaye de me modérer, car j'ai encore beaucoup de projets en retard et je suis pas très doué pour m'éparpiller.
J'espère une petite accalmie après la sortie de M&L9.
Mon petit gosse poursuivi dans la nuit par un horrible monstre est disponible dans l'anthologie Otherlands. D'ailleurs, il y a d'autres noms dans ce volume que nous connaissons ici, notamment celui de l'excellent Anthony Boulanger.
Merci ! Au début, ça devait être "Tous les robots s'appellent Alphonse", en hommage à Full Metal Alchemist, mais mon coloc m'a fait comprendre que seuls les ignares considéraient Alphonse Elric comme un robot... Comme il fait 1m90, j'ai trouvé que son argument était imparable.