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Sinon, vu mon incapacité totale, à l'heure actuelle, à me lancer dans de la rédaction longue type roman (ou d'ailleurs trop courte, je butte aussi sur le principe des 2 Zeppelins), je vasouille dans la nouvelle de taille moyenne, et je m'efforce de pondre quelque chose pour le prix Le Bussy. Mais 30 000 caractères de limite, c'est un peu court pour moi...
Sinon, j'ai encore durci mon autocritique pour ma tentative de constitution d'un recueil de nouvelles (Histoires d'enfants perdus), et j'en ai supprimé trois (publiées naguère dans des webzines ou en anthologie) qui me paraissaient un peu faibles. Ça date de mes premières tentatives (en 2014 ! Je suis un débutant...). Pour l'instant je suis à 330 000 signes ; 17 000 mots de reprises et 40 000 mots d'inédits. Pour une question d'équilibre et de rythme, je pense qu'il en manque encore une dans la dernière partie, dans les 5000 mots. À concevoir ex nihilo, vu que je n'ai rien dans mes anciennes histoires publiées à quoi j'ai envie de donner une seconde vie. Du reste tout cela peut changer dans les mois qui viennent, puisque ce nouveau décompte comprend deux nouvelles très récentes écrites pour des AT (Dreampress et Galaxies) pour lesquels je ne suis pas sûr d'avoir une chance... mais après tout on ne sait jamais !
J'ai l'impression de beaucoup me prendre la tête avec ce projet, mais je voudrais vraiment qu'il soit réussi, dans la mesure de mes moyens. Les gardiens de nos frères me turlupine toujours : c'est long et je n'arrive pas à me convaincre que ça marche, malgré les encouragements d'un lecteur indulgent . Je fais un blocage totalement irrationnel dessus.
En tout cas, je ne veux pas que cet essai de recueil ressemble à un ensemble de textes jetés en vrac pour faire un volume, et tant pis si c'est inégal et foutraque. Je préfère prendre mon temps et que ce soit réfléchi, si possible sans temps faible (une fois encore, relativement à mes aptitudes, pas dans l'absolu)
Et si vous vous posez la question : non, je ne crois pas du tout que ce je vous raconte présente le moindre intérêt !
Je t'envoie plein d'ondes positives pour ta participation au prix Le Bussy. C'est vrai que c'est un peu court comme taille de caractères, j'aurais du mal à me projeter dedans. Bon courage pour l'écriture
Je trouve que c'est gage de qualité que tu te poses autant de questions pour monter le recueil, cela devrait aider à le présenter aux éditeurs et aussi aider ton futur éditeur à le présenter au public. Au pire, les nouvelles que tu écartes seront toujours disponibles si l'on t'en demande davantage.
Je chipoterais sans doute autant sur mon propre recueil, si j'avais matière à en faire un, je voudrais que chaque nouvelle ait une place justifiée.
Pour Les gardiens de nos frères, en texte individuel, je l'avais beaucoup aimé, dans le cadre d'un recueil, c'est difficile de dire s'il a sa place ou non, sans avoir lu tous les textes. Parce que je l'ai bien aimé, je dirais oui... Mais ce n'est peut-être pas très constructif comme point de vue
Kaliom L. écrit: Je t'envoie plein d'ondes positives pour ta participation au prix Le Bussy. C'est vrai que c'est un peu court comme taille de caractères, j'aurais du mal à me projeter dedans. Bon courage pour l'écriture
Merci beaucoup ! J'ai fini par réussir à entrer dans les plots, mais ric-rac : j'espère du coup ne pas l'avoir trop précipitée. Comment faites-vous pour raconter quelque chose en deux paragraphes, comme vous en avez fait la démonstration pour les zeppelins ?
Kaliom L. écrit: Pour Les gardiens de nos frères, en texte individuel, je l'avais beaucoup aimé, dans le cadre d'un recueil, c'est difficile de dire s'il a sa place ou non, sans avoir lu tous les textes. Parce que je l'ai bien aimé, je dirais oui... Mais ce n'est peut-être pas très constructif comme point de vue
Si, si, ça me rassure ! Je lui ai trouvé une place dans le recueil qui lui fait je crois un bon écrin. Si ça fonctionne en solo, j'ai bon espoir que ça fonctionne en situation. Je crois que la raison pour laquelle cette nouvelle m'angoisse tant, c'est que j'ai peur qu'elle n'ait ni queue ni tête. Bah, quand j'aurai fini l'ensemble, je verrai bien les retours que j'en ai.
Pour les Zeppelins, dans mon cas, c'est que je suis trop rouillé pour partir sur quelque chose de long. Du coup, aller droit au but était plutôt adapté, même si quand même frustrant, je préfère quand je peux poser un peu le cadre, quitte à écrire une évidence pour me donner l'impression que mon texte est cohérent.
Je suis content que tu aies pu aller au bout de ta nouvelle, j'espère qu'elle va convaincre les membres du jury
Pour Les gardiens de nos frères, comme on en avait parlé, cela devient tout de suite compliqué dès qu'il s'agit de voyage dans le temps. Si on veut chipoter, on trouvera toujours. Je suis vraiment ravi que tu lui aies trouvé une place dans le recueil
Merci ! D'ailleurs quand les envoyez-vous, vos propositions aux Zeppelins ? Avec toutes mes excuses, j'ai renoncé : rien à faire, ça ne vient pas... Il manque encore Isangeles, je crois, mais il semble être très occupé en ce moment...
Rien à voir, mais comme mon post-apo en pyjama met en scène un enfant de troupe, je suis sûr que vous ne m'en voudrez pas si je vous mets le lien de cette petite vidéo du journal télévisé sur laquelle je viens de tomber : on y parle de mon ancienne école. Évidemment, la présentation est à côté de la plaque (la photo derrière la présentatrice est celle de l'École Spéciale Militaire de Saint-Cyr à Coëtquidan, pas du Lycée militaire de Saint-Cyr dans les Yvelines, et on ne commençait pas les cours à 6h30, bien sûr : on se levait à 6h30). Apparemment, la tenue est devenue plus "civile". Nous on travaillait en treillis, eux ont l'air de contrôleurs de la RATP. Les temps changent !
Je ne sais pas trop pour l'AT des Zeppelins, j'ai écrit le texte, maintenant j'attends qu'on lance la charge
Sympa le petit extrait de journal télé, ça permet de se faire une meilleure idée de la vie d'enfant de troupe. C'est un univers que je découvre, notamment avec ta nouvelle
C'était gros l'erreur de commencer les cours à 6h30, quand même
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