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Pour changer totalement d'atmosphère... Je suis à fond dans le piano de Debussy ces temps-ci (ah, la presque intégrale de Samson François chez EMI !) Alors je vous propose cette belle suite pour deux pianos intitulées En blanc et noir. À noter une brève référence au fait que la pièce a un siècle cette année (donc date de la guerre) dans la discrète allusion à la Marseillaise (10:04 et 10:13 ). Mais comme toujours avec Debussy, c'est fait avec beaucoup de discrétion et de subtilité.
Très à la bourre, je te remercie pour le partage de Kokoro no Kakera — Pieces of a Broken Heart, le morceau est vraiment très beau et émouvant... Une voix qui perce l'armure des guerriers les plus endurcis pour faire ressortir les émotions.
J'aime vraiment beaucoup ! Du coup, je vais regarder un peu aussi du côté du jeu que je ne connaissais pas du tout.
Aujourd'hui, j'initie une série dont voici le premier (et honnêtement, peut-être le dernier) épisode : la musique d'épopée prise dans le répertoire classique, pour changer un peu de Howard Shore et Hans Zi... vous savez qui. Commençons par un grand classique : le Finlandia de Sibelius, qui part du grave inquiétant, se repose sur une grand mélodie hymnique au milieu et finit dans le triomphal. Pas ce que Sibelius a écrit de plus subtil, mais ça marche toujours.