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"Tant qu'on a un livre, c'est bon, on est sauvé", estime l'écrivain.
Oui, ben moi, j'ai plein de bouquins à lire, et c'est pas les tiens, mon cher Michel.
Sa page Wikipedia, qui est un pensum laborieux, illustre parfaitement les limites du site. On y affirme sans sourciller qu'il est "considéré comme le plus grand écrivain de langue française", et personne ne peut protester, selon les règles de Wikipedia, puisque l'affirmation est "sourcée" : c'est-à-dire que les notes de bas de page renvoient à deux ou trois articles de journaux affirmant qu'il est aussi irréfutable que les éléphants de Vialatte. En d'autres termes, il suffit de trouver, dans la masse des concierges critiques payés pour imprimer leur conversation de bistrot, trois guignols fascinés par la pauvreté intellectuelle relâchée, et hop ! On grave dans le marbre de cette "encyclopédie" une opinion hautement subjective et extrêmement contestable.
L'époque a les dictionnaires, les auteurs et les critiques qu'elle mérite.
Le label Mu c'est en train de devenir de la blanche ou presque. On sent que l'effet de certains auteurs type Skippy le grand gourou ou autre Darrieusecq. et Le Tellier c'est en train de s'inscrire dans la durée.
D'année en année, j'ai de plus en plus de mal à comprendre l'intérêt des questions aux éditeurs que publie le site auto-parodique Elbakin. Entre les grosses maisons pleines aux as qui ne parlent que ventes et dividendes, et les autres qui en profitent maladroitement pour essayer de vendre leur catalogue, c'est à la fois privé d'intérêt et peu flatteur pour le milieu...
D'année en année, j'ai de plus en plus de mal à comprendre l'intérêt des questions aux éditeurs que publie le site auto-parodique Elbakin. Entre les grosses maisons pleines aux as qui ne parlent que ventes et dividendes, et les autres qui en profitent maladroitement pour essayer de vendre leur catalogue, c'est à la fois privé d'intérêt et peu flatteur pour le milieu...
M'étonne pas qu'on soit arrivé là. On a un milieu tellement publiphobe que ce genre de truc où alors les interviews sur Just a Word, ça passe mieux. Quand ça se présente sous la forme d'une interview sur un site ou un blog c'est mieux perçu que quand l'éditeur fait un publirédactionnel ou une pub sur les réseaux.
Faire de la com auprès d'un milieu publiphobe, je dois dire que c'est quand même une mission quasi impossible. je le fais. Ma pub dans Présences d'Espris ne m'a déclenché de ventes. Pareil pour des critiques sur certains blogs. Il y a des moments où je m'arrache les cheveux.
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